Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (3) - Histoires de Sexe

Repas d'affaire avec ma femme chez son patron (3)

... envie de parler. C’est ainsi que j’ai appris qu’il ne touchait plus sa femme depuis fort longtemps, et que son fantasme était les travestis. Jusqu’à maintenant il se paluchait en regardant des vidéos, ou en lisant des histoires sur des sites dédiés à cet effet. Je connaissais l’existence de ce genre de sites, mais j’avais ce qu’il fallait à la maison et en étais très heureux. C’était plus fort que lui, pendant que nous discutions, il ne pouvait pas se retenir d’avoir des mains baladeuses. À force de l’écouter parler ou plutôt de se confesser me semble-t-il, et malgré ses caresses indiscrètes, j’ai réussi à m’endormir dans ses bras. Cela faisait quand même tout drôle, moi un homme habillé en femme, m’endormant dans les bras d’un homme qui me désirait énormément. J’étais pratiquement en position fœtal et lui emboîté derrière moi, je sentais son souffle chaud dans mon cou, j’avais l’impression qu’il me parlait à l’oreille pendant que je m’endormais. Ma tête a quand même mis du temps à déconnecter, car j’avais une grosse érection, vu qu’il me tenait le sexe et me le caressait. En pleine nuit j’ai été réveillé, c’est mon amant qui ne me désirait, sous les draps il avait réussi à soulever l’avant de ma douce robe, seule la fine épaisseur de mon tanga séparait mon sexe du sien. Il n’y avait pas un seul bruit dans la maison, nous avions dû, ou plutôt j’avais dû dormir au moins quatre heures. Je ne faisais que subir pendant qu’il m’embrassait, je sentais son sexe énorme qui me ...

... faisait savoir que j’étais à lui pour la nuit. Cela m’était arrivé, avant de connaître Patricia, de me comporter comme un mâle dominant avec ma partenaire. Maintenant il était juste légèrement agenouillé devant moi, il avait sorti mon sexe de sa cachette, et il tenait les deux dards en main pour nous masturber. Cela me faisait tout drôle que de sentir un autre sexe d’homme en contact avec le mien et tous les deux montant et descendant sur leur colonne de chair. Je vais vous avouer qu’une bonne partie de mon corps était encore en train de dormir, je ne réalisais pas trop ce qui m’arrivait. Je ne sais pas si Claude avait dormi mais il avait l’air parfaitement lucide à ce moment-là, cela me faisait tout drôle d’exciter un si bel homme. Pendant au moins dix minutes, il a joué avec nos deux sexes collés l’un à l’autre, puis il a écarté mon tanga. Désormais ses doigts venaient fouiller mon petit trou, il ne lubrifiait mais en même temps le pénétrait, il voulait me dilater la rondelle. À force de me besogner ainsi, il se faisait désirer, j’en arrivais à avoir envie qu’il me prenne. Ses intromissions et ses caresses faisaient que maintenant mon corps ondulait au rythme du mouvement de ses doigts dans mon intimité. C’est comme si mon corps allait à la rencontre des intrus qui était en train de me visiter. À ma grande surprise, j’avais envie qu’il continue de m’embrasser, j’étais en manque quand sa bouche se décollait de la mienne. De temps à autre, il prenait le temps de me caresser le ...