1. Encore une histoire d'arroseur arrosé !


    Datte: 13/02/2020, Catégories: fh, hbi, fplusag, jeunes, Collègues / Travail nympho, telnet, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, vidéox, photofilm, Masturbation préservati, pénétratio, hdanus,

    ... avant, me fit adopter une position un peu étrange, avec le bas du corps comme allongé, si ce n’était mes jambes pliées à l’équerre, et le torse plié. Elle prit ma verge d’une main et elle me lécha les testicules. Elle descendit, serrant encore mon nœud pour passer laper doucement l’orée de mes fesses. Puis elle lâcha mon sexe et, de ses dix doigts, écarta mes fesses. Je sentis un baiser se poser sur ma rondelle et la pointe chaude et humide de sa langue. L’effet fut saisissant, je sursautai et mon cœur se mit à accélérer, comme jamais il ne l’avait fait. Elle me titilla l’anus. Elle posa un doigt dessus, il glissa doucement à l’intérieur. Elle le remua un peu. J’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Elle prit ensuite ma main droite pour la faire passer entre mes jambes, proposant mon propre majeur pour remplacer le sien. J’étais dans un état second et je m’exécutai. Mon autre main, sur mon sexe, s’agitait aussi. Elle vint à mon oreille, me susurrer des cochonneries, qui venant d’elle, m’enveloppaient dans un chavirement incontrôlable. Je me rappelai l’écran, je me vis dans cette position, je réalisai à peine que c’était moi. Elle était à mes côtés et me caressait le torse. Elle vint porter ses lèvres sur les miennes, puis nos langues se mêlèrent. J’explosai en jets puissants et le fruit de ma jouissance se répandit sur mes cuisses, mon torse, le sol et il y eut même quelques gouttes sur les seins de ma maîtresse. Cette dernière disparut derrière moi. Je me retournai. ...
    ... Elle s’était installée sur mon lit, allongée sur le côté, face à moi. Elle avait passé le cap. Je pris dans mes affaires un préservatif. Je ne suis pas particulièrement endurant, mais je reprends toujours très vite forme. D’ailleurs, le plus souvent, ma verge reste tendue, même suite à trois ou quatre éjaculations. J’enfilai un préservatif et vins rejoindre Madame Nathalie. Elle se retourna et me fit pénétrer en elle par derrière. Je pense que je touchais ma récompense pour mes fidèles et loyaux services. J’entrai, guidé par sa main. Mon va-et-vient s’amorça lentement, elle se mit à gémir. J’étais pris dans une délicieuse fournaise, confortable et confinée à la fois. Elle ondulait des reins, je butais contre ses fesses de plus en plus violemment. Je cherchais à voir ma queue s’engouffrer entre les lèvres de son vagin. Voir, me voir était devenu important ces derniers temps. M’avait-elle transmis son « syndrome » ? Nous avons changé maintes fois de positions, je cherchais toujours à m’enfoncer encore plus loin en elle. Elle eut la tête dans l’oreiller quand je la pris en levrette. Elle manqua m’arracher la queue pour me reprendre dans sa bouche. Elle m’attira entre ses seins pour m’asséner une caresse encore inédite pour moi, et c’est là qu’au bout de cette demi-journée courte et longue à la fois, je me répandis pour la deuxième fois. J’extrayais de ma verge tout ce que je pouvais. Le liquide mi-blanc mi-translucide s’écoulait sur ses seins et son bas-ventre. Je tapotai mon gland ...
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