1. Catherine II, une grande amoureuse


    Datte: 13/02/2020, Catégories: fh, ff, historique,

    ... l’éclat de sa beauté. Et elle le sait. Droit comme un « I », tricorne emplumé à la main et épée au côté, Igor Oulianovitch s’incline après avoir opéré un claquement de talons impeccable. — Ne faites pas tant de manières, comte, et venez près de moi. Difficile de dire non à sa majesté impériale ; impossible, même. Notre jeune et bel officier se trouve donc obligé d’obéir à l’injonction, douce mais ferme, de sa souveraine. « Une main de fer dans un gant de velours », voilà une expression qui n’aura jamais aussi bien collé à un personnage de pouvoir. Mais là, ce soir, Igor Oulianovitch Otchakov découvre une autre facette de l’autocratie russe : cette main qui peut faire tomber une tête quand elle le veut, ces doigts fins aux ongles soignés qui peuvent tenir la plume signant un oukase d’exil en Sibérie sont en train de dangereusement s’approcher de son entrejambe. Il était prévenu, mais il n’arrive pas à le croire : l’impératrice de toutes les Russies est là, devant lui, en train de caresser la bosse qui ne cesse de grossir sous la culotte de peau de son uniforme ! Les yeux bleu-nuit de la souveraine le regardent de façon hypnotique alors que ses dents blanches mordillent sa lèvre inférieure. Sans dire un mot, sourire aux lèvres, Catherine II baisse la culotte d’uniforme et regarde son membre à demi-dressé. Toujours au garde-à-vous et horriblement gêné, il attend, en bon militaire, les ordres de son chef, la main crispée sur la poignée de son épée. En même temps, son regard ...
    ... s’égare dans le décolleté profond du déshabillé de la tsarine. Incrédule, il la voit pencher la tête en avant, bouche légèrement ouverte, et il gémit à la fois de surprise et d’excitation, moment d’égarement qu’il rectifie aussitôt. — Garde-à-vous et tête haute, comte !— À vos ordres, Majesté ! Rester impassible alors qu’on va se faire pomper par une impératrice ? Facile à dire, difficile à suivre ! Cul nul et culotte sur les chevilles, il serre donc les dents pendant que les lèvres carmin se referment sur lui et que, dents habilement rentrées, la bouche impériale effectue d’incessants et délicieux allers-retours sur sa verge bandée comme un arc. Il sent dans ce fourreau chaud et humide la langue tourner autour du gland et l’agacer de manière subtile.« Elle suce comme une reine ! » Et pour cause. Il jouit aussitôt dans la bouche impériale, incapable de se contenir face à un tel assaut. Il aurait souhaité résister plus longtemps, mais l’examen a été visiblement concluant s’il en juge l’air enjoué de Catherine qui a fait choir son déshabillé. Elle étale désormais tous ses appâts devant le regard émerveillé du jeune homme. Le corps opulent de la tsarine va bientôt lui appartenir. Il ne peut encore la toucher, mais cet instant ne va pas tarder. Débarrassé du reste de son uniforme, le capitaine suit donc l’impératrice, fasciné par le balancement de ses hanches et la rondeur parfaite de son cul. Nus comme au jour de leur naissance, ils s’étendent sur l’immense lit du salon des ...
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