1. Catherine II, une grande amoureuse


    Datte: 13/02/2020, Catégories: fh, ff, historique,

    ... appartements impériaux. Igor Oulianovitch en a la tête qui tourne, et pas seulement à cause de la situation extraordinaire dans laquelle il se trouve : toute la décoration des murs, du sol et du plafond transpire la luxure. Et que dire du mobilier ! Tables à empiètements phalliques, chaises aux accoudoirs en forme de satyres, panneaux sculptés à la gloire du corps et du sexe, il en a la bouche sèche et le cœur battant. Il bande, Dieu comme il bande ! À en avoir mal. Et il est d’autant plus dur qu’elle le branle maintenant d’une main experte en le fixant ouvertement du regard. Puis, sans un mot, elle s’étend sur le dos, ouvrant largement ses cuisses. Les yeux clos, comme une princesse endormie, elle l’attend. Sa poitrine balance doucement au rythme de sa respiration. Les tétons sont durs et dressés, le sexe béant et trempé. Le capitaine en a le souffle court. C’est la première fois qu’il voit une chatte rasée : pas la moindre trace de duvet. Ainsi exposée, une femme ne peut être plus nue… La tsarine ne bouge pas. Le calme avant la tempête. Alors qu’il s’étend à ses côtés, elle se redresse soudain et l’attire à elle. Catherine est tellement ouverte, tellement mouillée qu’il s’enfonce d’un coup dans son ventre. Elle plie les jambes pour faciliter la pénétration puis les croise dans son dos en même temps qu’elle l’enlace en soupirant d’aise. Sa langue fouaille sa bouche ; il s’étourdit de son parfum, écrase sa poitrine contre ses seins. Elle remue les hanches, lui balance des ...
    ... mots crus à l’oreille. Il la retourne, la met à quatre pattes sur le lit et l’enfile d’un coup alors qu’elle enfonce sa tête entre ses bras, creusant les reins et cambrant les fesses. Mais entre deux gémissements de plaisir, Catherine reste celle qui exerce le pouvoir. — Attention, comte : je n’entends pas être grosse de vos œuvres. Otchakov a compris l’ordre implicite qui lui est donné. Il se retire et effectue en bon militaire un « repli sur des positions préparées à l’avance ». Une nouvelle attaque est donc lancée, cette fois sur le cul impérial. Il envoie d’abord une reconnaissance, deux doigts qui s’enfoncent dans ce petit trou fragile et le dilatent sans difficulté. Visiblement, la place a déjà été souvent investie. Ils n’y rencontrent aucune résistance, alors le comte y plante sa queue en criant de bonheur alors que la tsarine émet une longue plainte. Elle l’aide en écartant de ses propres mains les deux globes laiteux, épaules et tête posées sur les draps. Les doigts crochés dans ses hanches rondes, il s’enfonce jusqu’à la garde, sort presque entièrement et replonge de toute sa longueur. Il veut encore l’entendre crier, avoir l’impression folle que, l’espace de quelques instants, c’est lui qui est le maître de l’Empire. Ses coups de reins sont réguliers, profonds mais doux. Catherine apprécie cette délicatesse. Ses doigts fins filent entre ses cuisses et caressent les couilles dures et rondes de son amant. Il jouit aussitôt en elle en jets puissants ; la semence déborde, ...
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