1. Première communion


    Datte: 14/02/2020, Catégories: grp, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, fgode, fdanus, attache, bougie, sm,

    ... sensibilité et d’intelligence. Pourquoi un tel déguisement ? Pourquoi pas au fond ? Puis la rousse me prend le bras. — Viens avec nous. Nous traversons la pièce, gravissons deux marches qui conduisent à un autre espace où la musique est moins forte. Au fond à droite, une porte ; elle l’ouvre. Un peu comme dans les cabinets médicaux il y a un banc. Accrochée au mur une chasuble blanche. En face de la première porte, une seconde. — Tu t’enfermes, tu te déshabilles, tu revêts ce vêtement, le moment venu nous viendrons… te délivrer par cette autre issue. Fais bien ce que nous te demandons, c’est pour Marie. Impatient d’aller plus loin, de découvrir cet univers qui m’est étranger, je m’exécute. J’attends depuis quelques minutes quand j’entends du bruit. La porte s’ouvre enfin, l’autre amie de Marie, elle-même revêtue d’une cape, m’invite à la suivre. Nous sommes dans une pièce carrée d’environ quatre mètres de côté, au plafond entièrement recouvert de miroirs, un lustre en fer forgé sur lequel sont disposées des bougies diffuse une lumière chaude, sur les murs et au sol une épaisse moquette rouge, à gauche une tenture semble dissimuler une autre issue. Au centre de la pièce une estrade s’élève à environ quatre-vingts centimètres du sol. Une odeur d’encens emplit la pièce inondée par la diffusion d’une messe de Bach. — Reste immobile devant l’estrade, nous revenons. Puis elle disparaît derrière le voilage. Un mélange de peur et d’excitation m’envahit peu à peu. J’observe ...
    ... l’estrade, à l’une des extrémités et au centre de la longueur sont fixées des chaînes terminées par un cercle de métal, en leur milieu une petite serrure ; à l’autre bout, un épais coussin et une clé sont posés. La musique se fait plus puissante. La tenture s’ouvre, quatre hommes en mantes noires tiennent sur une civière de bois, Marie entièrement nue. Arrivés à l’estrade ils déposent leur précieux chargement au sol, saisissent Marie par les membres et la placent dessus. L’un d’eux saisit la clé, ouvre les anneaux de fer et les referme aux chevilles et aux poignets. Tous quatre vont se placer au fond de la pièce, le geôlier quant à lui, place la clé sur une desserte sur laquelle j’aperçois une paire de menottes. La tenture s’ouvre à nouveau, les deux amies de Marie entrent, elles sont totalement nues et tiennent chacune un cierge blanc allumé ainsi qu’une petite fiole. Elles posent les burettes sur l’estrade et inclinent les cierges au-dessus de Marie. La cire coule sur les seins, le mont de vénus. Le pubis est glabre et à chaque nouvelle goutte son corps tressaille. Puis elles éteignent les cierges. La rousse s’approche de moi et m’ôte la chasuble pendant que l’autre qui s’est dirigée vers la desserte revient, me prend les mains, me les passe derrière le dos et les immobilise par les menottes. Puis elle me saisit par le bras et m’entraîne à l’extrémité de cet autel face à Marie. Sa tête légèrement surélevée par le coussin permet à nos regards de se croiser, j’ai du mal à maintenir ...