1. La Révélation de Sophie (10)


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Zoophilie,

    Quelle était attendrissante, dans son abnégation, la croupe ainsi dressée. Mais de ses deux orifices, un seul était en disponibilité immédiate, clairement prédisposé à la saillie. L’ange-bête n’avait qu’à se servir et de fait, pour conforter la résolution de Sophie et la préparer au mieux à cette nouvelle tentative, bref mettre toutes les chances de réussite du même côté, il s’enfila à la hussarde dans le con baveux. Elle ne s’y attendait pas. Elle ne cacha ni sa surprise ni sa joie. Les nymphes amoureuses engloutirent le membre. Et l’animal eut tout loisir d’énergiquement tringler les parois détrempées de la jeune salope. Le braquemard impérial forçait sans retenu le fourreau étriqué et, sur son passage, malgré l’extrême étroitesse, il ne rencontrait aucune opposition, juste de profonds couinements de satisfaction. A recevoir un tel traitement, le vagin en giclait d’enthousiasme ; une mouille épaisse et copieuse qui, en éclaboussant joyeusement les alentours, dénonçait l’absence de retenue. Le ravissement triomphant s’incrustait vulgairement sur le sublime visage de l’ingénu qui, la bouche aussi ouverte que son con, bramait d’extase ; le rouge à lèvres accentuait crument la béance buccale et aggravait encore l’impudence du lâcher prise. " La chienne !!! Qu’est-ce qu’elle se régale ", en déduisit le perspicace Phil. Il reconnut bientôt les symptômes de l’orgasme : le corps pris de soubresauts, les beuglements qui redoublent. Mais alors que l’on s’attendait à ce que ...
    ... l’ange-bête sans donne à cœur joie et démonte sans vergogne la matrice de la femelle, il la frustra une nouvelle fois, extirpa son énorme pine et immédiatement l’appliqua sur l’orifice anal, il badigeonna ainsi copieusement le trou du cul de jus lubrifiant. Au vu de l’empressement de Sophie, il ne pouvait y avoir meilleure mise en condition à l’enculage : — Ouiiiii allez-yyyyyyy, mettez-la-moi !!!!!! Mais dès que la pine poussa, le bémol : — Aiiiieeeeeeeeeeee. Ça fait trop mal, Aiieee…. Aiieeeee… Dressée sur ses pattes arrière, tous les muscles bandés, la masse bestiale semblait prête à donner le coup de grâce. Il ne faisait aucun doute que l’animal avait largement la puissance nécessaire pour démâter ce petit cul. Mais d’une voix tendre et prophétique : — Vous souvenez-vous de mon message la nuit où vous doutiez ? Oui ! Elle s’en souvenait ! La phrase s’était incrustée dans l’esprit de Sophie. Elle vint avec une facilité déconcertante aux lèvres de la jeune fille : — A l’heure de ta consécration, pour mieux L’accueillir, tu repousseras de toutes tes forces ce que tu désires. — En comprenez-vous maintenant le sens ? Oui, elle avait compris. Et en exerçant une poussée inverse, comme pour expulser ce qu’elle accueillait, elle relâcha suffisamment son orifice anal, alors son œillet s’écarta, céda à l’impulsion et, miracle, le braquemard, péniblement mais effectivement, pénétra de quelques millimètres dans le cul suscitant un cri du fin fond des entrailles. Le gland disparu avalé par ...
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