1. La Révélation de Sophie (10)


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Zoophilie,

    ... l’anus. Elle poussa un autre cri encore plus déchirant. L’ange-bête s’inquiéta : — On arrête ? — NONNNNNNN ALLEZ-Y AIIIIEEEEEEE ALLEZ-YYYYY METTEZ-LA MOIIIII… La pine progressait, s’engouffrant millimètre par millimètre dans l’étau anal. A chaque va et vient un peu de terrain était gagné. — ... AIIEEEEE MON DIEUUUUU OUHHŸŸOÖOHHOUYOUYEEEE ALLEZ-YYYY DOUCEMENTTT OUIIIII MON DIEU AÏÏÏIIYAAYÄÄAAIIIHHAAA…. Sophie n’était que hurlement et sanglot, car des larmes maintenant inondaient à flot son visage lisse et pur. Ainsi beuglante comme une truie et en pleure comme une sainte elle était l’archétype bouleversant de la lubricité ; la chiennasse la plus délicate et attendrissante que l’on n’ait jamais vu. Les spectateurs ne se méprenaient pas, cet enculage était tout sauf un viol, les beuglements étaient explicites, " OUIIIIII AÏIÏIEEEEEHHHHEEEE OÔHHHOHH MON DIEUUU OUIIIIIIIII ", la douleur décuplait la jouissance. Il était même de plus en plus évident qu’elle adorait se faire sodomiser : — OUIIIIII AÏIÏIEEEEEHHHHEEEE OÔHHHOHH MON DIEUUU DOUCEMENT AYYEEHHOUIIIIII OHH MONNNN DIEUUU OUÏIYYYYIIII QUE C’EST BONNNNNN… La barre de chair travaillait méthodiquement le fondement, remplissant toujours un peu plus son rôle. Sophie les poings serrés encaissait magnifiquement la charge. Les tressauts de son corps trahissaient l’intensité de l’invasion. Et toujours la litanie en larme, la beuglante d’enculée : — AIIIEEEEEEE OUIIIII ALLEZZZZ-YYYY ÖÔÔÔÖHHHHAHHAAOUIIIII OHHH SEIGNEURRRR ...
    ... OUIIIIIIIIIIIIII… L’ange-bête se fit confirmer ce qui ne faisait aucun doute : — Vous pleurez Sophie ? — AIIIIEEEEE OÔÖÔHHH CONTINUEZZZZ OUYYEEHHÏÏEE OUIII… DOUCEMENT… OUIII… DOUCEMENT COMME ÇA … OHHH OUIII COMMME ÇAAAA… CE… CE… SONT… DES… DES LARMES DE… DE… BONHEUR… OUIIIIIIIŸŸÏII…. N’empêche qu’elle en bavait ! Le spectacle était fascinant. Et la question sur toute les lèvres : la bête réussirait-elle à s’enfiler jusqu’aux couilles dans ce petit cul idyllique ? La moitié du morceau installé dans la place, le plus dur était-il fait ? Sophie donnait des signes contradictoires, elle réclamait au deux sens du terme, c’est-à-dire qu’elle exigeait tout en s’insurgeant. A mesure que la dilatation anale s’intensifiait, elle levait de plus en plus souvent le bras en signe de capitulation puis elle l’abattait lourdement sur la couche comme un lutteur qui indique qu’il abandonne. Mais en même temps, elle gueulait comme la dernière des chiennes qu’elle en voulait encore. Maintenant la douleur devait être à la frontière du supportable car elle empoignât violement le drap entre ses doigts fins comme pour le déchirer et ses hurlements, ses larmes et ses grimaces de souffrances redoublèrent encore. Enfin, elle tourna la tête vers son enculeur et, en repoussant énergiquement de la main le bas ventre de l’animal, elle demanda grâce : — AIIIIEEEEEEEE AIIIIEEEEEEEE AIIIIEEEEEEEE… ARRETTEZZZZ J’EN PEUX PLUSSSS OUYYOUYOUYEUUUEEEE CA FAIT TROP MAL… Elle avait donc son compte ! L’ange-bête obtempéra ...