1. Blandine et les loups (2)


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Trash,

    Blandine ne prit pas la peine de répondre, tout au plus hocha-t-elle la tête avant de traverser la salle en laissant sa valise en plan. Elle disparut dans la resserre en refermant doucement la porte. Ce que voyant, le patron allongea une claque sur l’épaule de son ami. — Viens, on boit une bière et on y va ! Tu n’as pas envie de la sauter, cette petite pute ? — Ben... Dédé, je te rappelle que c’est ma fille... — Ouais, et moi, je suis le pape ! Sérieusement, tu n’as jamais eu envie de te la faire ? — Elle était presque jamais à la maison, tu sais. Mais sûr qu’elle a l’air baisable. Tu y vas, je viendrai dans un moment ; je surveille ton bar. — Va pas servir de tournée générale ; ce sont de vieux clients mais c’est pas une raison. Dix bonnes minutes plus tard, le colosse quitta le comptoir et ouvrit la porte de la réserve. Blandine était exactement là où elle devait être. Elle avait obéi, empilant ses vêtements sur un fût de bière ; complètement nue, elle offrait son intimité à son regard scrutateur. Dédé était satisfait, mais il n’allait pas le lui montrer et la pousser plus loin. — Ta position est nulle, idiote. Écarte plus les jambes et cambre-toi, je veux que ton cul se relève. Baisse le buste, la tête contre le mur et les mains à plat, encore un peu... Là, parfait. Tu es négligée, tu as plein de poils ; c’est pas parce qu’ils sont blonds et fins que tu dois ressembler à une guenon. Même les aisselles, je vois... Je vais te conduire chez une amie qui va s’en occuper ...
    ... une bonne fois pour toutes. Voyons comment tu es... Tu mouilles comme une chienne. Intéressant, ça. Blandine avait retenu un cri quand un doigt avait glissé entre les replis de son intimité. Honteuse, elle sentait bien que son bas-ventre devenait humide. On n’avait pas idée de lui imposer cette position complètement obscène ; même dans ses rêves les plus fous elle n’aurait imaginé se retrouver ainsi. Elle ne put retenir un gémissement quand le doigt fureteur s’engagea dans son vagin jusqu’à venir buter contre son hymen. Puis un autre doigt trouva son bouton et le fit rouler, le massant et le cajolant fermement. Les cuisses de la petite blonde se mirent à trembler comme Dédé accentuait ses caresses en l’abreuvant d’injures. Submergée de honte, elle serra les poings en mordant sa lèvre inférieure, puis poussa un cri quand une douleur cuisante traversa sa fesse droite. Son suborneur venait d’asséner une violente claque sur le fessier offert. — Les mains à plat, j’ai dit ! Si tu n’obéis pas, je vais te faire rentrer mes ordres dans le crâne à coups de ceinture, tu as compris ? — Oui... souffla-t-elle Une nouvelle claque sèche, sur l’autre fesse cette fois. — Tu apprendras la politesse ! Oui Monsieur, et plus fort ! — Oui Monsieur ! sanglota la pauvrette. C’étaient à présent deux gros doigts qui coulissaient aisément dans le pertuis mouillé, arrachant d’éperdus gémissements à Blandine ; yeux clos et bouche ouverte en cul de poule, elle haletait et tentait de résister à l’émoi qui ...
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