1. Blandine et les loups (2)


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Trash,

    ... l’envahissait. — Tu vois que tu es trempée. Tu aimes ça, te soumettre à un vrai mâle. Je vais te dépuceler, maintenant. Tu préfères avec les doigts ou avec ma grosse bite ? Surprise, Blandine tordit le cou pour apercevoir Dédé qui attendait sa réponse. Elle comprit à son visage sérieux qu’il ferait comme elle lui dirait, et elle sut à cet instant précis qu’elle n’échapperait pas à son destin. — Avec votre bite, souffla-t-elle. Avec votre grosse bite, Monsieur. — Parfait ! Après, tu la nettoieras avec ta langue, puis tu lècheras mes couilles. Compris ? — Oui Monsieur... — Bon, ne bouge plus, je vais te planter ; je te préviens, il va falloir que je force le passage. Je suis bien monté. Blandine resta muette, ne comprenant pas où l’homme derrière elle avait bien pu monter. Elle resta en place tout le temps qu’il se prépara. Les sourcils froncés, elle entendit des froissements de tissu : il devait se déshabiller en prenant son temps. Oppressée, elle essayait de calmer sa respiration, se demandant ce qu’il faisait. — Je mets un préservatif ; tu prends la pilule ? — Oui Monsieur ; depuis un peu plus d’un mois. — C’est parfait ; avec tout le sperme qui va emplir ta chatte, faudrait pas que tu sois en cloque. Mais avec la bouche de salope que tu as, tu en avaleras encore plus ! ykqyrrwx Résignée, Blandine soupira. Elle n’était pas habituée à entendre des mots aussi grossiers, et en plus c’était elle qu’il traitait ainsi. Elle sentit une pression sur sa vulve et ouvrit ...
    ... instinctivement la bouche pour protester mais se ravisa. Dédé n’allait pas apprécier. Ledit Dédé promenait son gland de haut en bas contre la fente, agaçant les petites lèvres trempées de rosée intime, puis il se décida. Guidant sa bite d’une main habile, il se positionna au centre de la féminité rose et s’enfonça d’une poussée irrésistible. Il crut sentir la rupture de la fine membrane, en tout cas Blandine poussa un cri de détresse au même moment et essaya de se dégager. — Ne bouge pas, je t’ai dit ! — Vous êtes trop gros ! Vous me faites mal, je vous en supplie... — Tais-toi, ce n’est rien, tu vas t’habituer très vite. De fait, Blandine se calma car la vive brûlure ressentie lors de la déchirure de l’hymen s’estompa rapidement. Ne restait que cette impression de plénitude pas trop désagréable. Elle était dilatée par un engin volumineux, tiède et souple, qui palpitait en elle au rythme de pulsations régulières. L’homme ne bougeait plus, attentif à ses réactions. Tout au plus tenait-il fermement les hanches de la petite blonde pour prévenir toute rébellion. D’ailleurs elle s’était calmée, même si sa respiration restait saccadée ; elle avait même repris la bonne position, bien offerte, les mains à plat sur le mur. Alors il se retira complètement, lui arrachant un petit cri — dont il ne savait si c’était de douleur ou de déception ; le lui aurait-il demandé qu’elle n’aurait pas su répondre —. Il examina un instant sa queue dressée enveloppée dans le latex rose et couronné d’un peu de sang ...