1. L'EMPRISE...


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Un après-midi d’été, me retrouvant seul depuis peu, et alors qu’il faisait beau et chaud à l‘extérieur, il me prit l’envie de pianoter sur mon ordinateur dans notre jardinet. Un carré de dix mètres de côté d’où ma compagne en avait fait un petit antre de paradis. En l’agrémentant d’une panoplie de plantes et de fleurs des plus diverses. Qui une fois fleurie donnait une harmonie à ce terrain jusqu’alors fade. À peine avais-je franchit la porte fenêtre que je fus accueillis par un coup de klaxon. C’était tout bonnement Claire, ma compagne, qui à bord de la voiture et de la grille m’apercevant me fit un petit coucou. Elle partait en ville faire quelques courses. Je lui fis un signe de main qu’elle me répondit avec un beau sourire dont elle en a le secret. Elle démarra et très vite disparut de ma vue. Le silence se fit autour de moi. Seuls les oiseaux se faisaient entendre. Je percevais à peine la rumeur de l’autoroute pourtant très propre. Et c’était bien agréable. Je pris place sur le bain de soleil et attaquais. Les mots dégoulinaient sur l’écran. L’écriture est pour moi un flux de plaisir pendant mes temps libres. Tout en voguant sur les touches, je visualisais la scène pour mieux le coucher sur papier. Cela commencer de la douce étreinte, aux caresses qui allait mener jusqu’au plaisir. Je prenais un pied fou de tout transcrire. Une occasion comme une autre de me procurait d’agréables sensations. C’était alors que je me sentis épié. Un coup d’œil discret suffit pour ...
    ... l’intercepter. Je parle de la propriétaire des lieux. Une bourgeoise octogénaire, pas moins que ma patronne qui prenait plaisir à jouer les voyeuses. Il n’était pas question pour moi de lui jeter la pierre, étant moi aussi un adepte du genre. Elle se postait pour cela, derrière la vitre de la fenêtre qui se trouvait à l’aplomb de notre jardin et de là, elle nous espionnait. Parfois à l’aide d’une paire de jumelles. L’écriture polissonne additionnait au fait d’être pisté allouait à ma personne un cocktail explosif d‘excitation. À me donner envie de faire une grosse bêtise. Celle de m’exhiber à ses yeux. Mais pas juste à montrer ma quéquette, non ! Bien plus. Et crois moi pour cela j’ai la science infuse. Pour ce faire, j’allais chercher dans la buanderie de la patronne une culotte se trouvant dans le panier de linge sale. Elle était en dentelle noire, de taille XXL. Puis je passais par ma chambre. Me saisissant de mon masturbateur. Mais alors que je m’apprêtais à sortir mon regard se porta sur un string que ma compagne avait laissé choir sur une chaise. À la virgule blanche qui souillait son fond, pas besoin d’être Devin pour savoir qu’il avait été porté. Je le pris au passage et retourner au jardinet. D’un coup d’œil furtif je me rassurais de la savoir toujours à son poste d’observation. Il était temps pour moi de passer à l’action. Une main sur chaque hanche, tout en tournant, je descendais centimètre après centimètre et cela de chaque côté mon short. Pour pimenter l‘instant, je me ...
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