1. L'EMPRISE...


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... balançais en cadence tout en tournant. Quand je fus de dos, je descendis vivement mon short et le remontais aussi vite, le temps de lui dévoiler mon cul. Ivre de mon excitation, je pivotais et lui refis la même exhibition mais là de face. Le temps de lui exposer ma verge de taille adulte. Puis de nouveau je lui présentais mon côté pile. Pour me saisir du short tomber à mes pieds, je me penchais en avant, gardant les jambes le plus droite que je le pouvais et tout ça en me tortillant du cul. J’avais pris plaisir à penser qu’elle avait du zoomé pour avoir une belle vue sur mon fion. Puis je me remis de face, me présentant à elle nu comme le jour de ma naissance. Lui exhibant ma queue forte d’une érection qui à force d’être dure me faisait mal. Je savais par expérience que cette catégorie de femmes à défaut d’autre chose, se branlaient comme des folles. Leurs seules sources de jouissance. Que ce soit dans la solitude d’une chambre ou dans une salle de bains. Parfois même dans le salon devant la télé quand la possibilité leur était donnée. Un petit pourcentage d’entre-elles, plus aventurière, s’autorisaient une pénétration avec des objets anodins pour assouvir leur soif sexuelle. Cela allait de la bougie, à la carotte, de la courgette au concombre pour les plus téméraires. Au milieu du jardinet, je n’aurais jamais imaginé que j’éprouverais une aussi forte stimulation. Je me suis allongé, laissant les rayons du soleil caresser ma queue. Une verge noueuse avec les veines ...
    ... saillantes qui ne cessait pas de tambouriné mon ventre. De la mouille s’écoulait du méat. Reliant ma verge à mon ventre d’un fils translucide. J’attrapais mon masturbateur, et amenais les lèvres en résines au contact de mon gland. Sans être l’égal à un con il ne restait pas moins agréable à défaut d’autre chose. J’entubais alors mon sexe dans le joujou, jusqu’à la garde. L’extrémité de ma verge, transmettait très vite des sensations fortes à mon cerveau. Tout en exerçant un mouvement de va-et-vient au masturbateur, je me saisis de ma main libre du string de ma belle et le portais jusqu’à mes narines. L’empiècement au contact de sa chatte était moite. Je le renifler. Il avait l’odeur de ses sécrétions et de sa pisse. Je dus à plusieurs reprises arrêter le pompage avec mon joujou de peur de jouir trop rapidement. Sachant très bien que plus je repoussais l’échéance plus ma jouissance sera forte. Je poussais alors l’immoralité en me saisissant de la culotte de la vieille. Après l’avoir bien exhibé pour qu’elle reconnaisse son bien, je la portais elle aussi jusqu’à mes narines, la respirant à plein poumons. Une essence très épissé s’en dégagea, à me faire perdre le peu d’honnêteté qui me rester. À me faire augmenter le rythme de mon poignet. Des picotements agréables se firent sentir. Le début d’une imminente éjaculation. J’attendais la dernière seconde pour écarter le masturbateur. Cela fit comme un bruit de bouteille que l’on débouche. Tout de suite après, j’emmitouflais ma queue dans la ...