Le choc du passé et la promesse d'un avenir radieux
Datte: 14/02/2020,
Catégories:
fhhh,
fagée,
couplus,
extracon,
anniversai,
Collègues / Travail
Oral
fist,
double,
Partouze / Groupe
confession,
totalsexe,
couple+h,
... penser que tu étais là. Ce n’est pas normal, si tu ne veux pas en parler à la direction, je peux le convoquer pour qu’il explique comment il a pu entrer.— Attends, attends. Il faut que je te dise quelque chose, mais d’abord tu dois me jurer le secret. Voilà, j’ai un accord avec Arthur.— Comment, ne me dis pas que c’est ton amant ?— Non, non. Tu es folle, c’est autre chose. Voilà, je le laisse utiliser la réserve, au moment du repas, pour ses parties de jambes en l’air et en échange il me prête son appartement à La Grande Motte pendant deux semaines en été. Je vous passe les détails, mais même si je trouvais un tel accord dangereux, on ne dénonce pas une copine. Quelques jours plus tard, j’ai la visite d’Arthur dans mon bureau, très gêné, essayant de me sonder pour connaitre mes intentions. Je le rassure, que Laure est une amie, mais qu’il doit absolument être plus prudent pour éviter de se faire surprendre. Et comme j’aborde le sujet de la dénonciation par une maitresse déçue ou bafouée, il me répond calmement, presque fanfaron : — Jamais une femme ne s’est plainte ou n’a été déçue par moi. Quant à celle qui voudrait me dénoncer, je garde toujours une trace de notre aventure, alors, elle aussi perdrait beaucoup. On ne travaille pas dans une boîte de ciné pour rien.— Vous semblez bien présomptueux, mais c’est votre problème. L’important c’est que mon amie n’ait pas de soucis. Pour moi l’affaire était classée, mais comme un fait exprès, Arthur revenait souvent dans les ...
... conversations entre femmes et certaines, avec des airs de conspiratrices, parlaient de lui comme d’un amant très agréable. Avant, ce genre de remarques me semblait incongru mais comme je savais maintenant où cela se passait, j’étais plus attentive à ces ragots. Et puis, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller voir. Il faut dire qu’il avait la santé car chaque jour le spectacle était assuré. C’est là que le passe universel m’a servi. Arthur avait une technique bien éprouvée. Il était à l’écoute de sa partenaire et jamais je l’ai vu jouir sans que la femme n’ait elle-même plusieurs fois du plaisir. Manifestement c’était le roi du cunni, car pas une ne résistait. Pour le reste il était d’une résistance que, excusez-moi Robert et Georges, je n’ai jamais vue. Il devait être capable de se retenir à volonté. Deux types de femmes défilaient. Les jeunes que, d’une certaine façon il honorait avec délicatesse, leurs apportant un peu d’expérience qu’elles ne trouvaient pas avec leurs jeunes amis. N’oubliez pas qu’à cette époque, internet n’existait pas et que la sexualité était encore taboue. Les plus vieilles, souvent mariées, plus intéressées par le sexe que la romance. Ces dernières s’offraient un amant sans que le mari puisse les soupçonner. J’appréciais surtout les expérimentées car le spectacle pouvait être grandiose. C’est avec elles que j’ai vu ma première sodomie et je ne vous parle pas des fellations d’enfer, qu’une en particulier, savait mener. Robert, te souviens-tu de cette période où tu ...