1. Christine III : Les brûlures de l'aube (4)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: Hétéro

    Je rentre chez moi, fatigué. Et en cinq mots : j’ai mal à la bite. Je prends un long bain dans lequel je me détends. J’aimerais réfléchir, je m’y efforce, mais je n’y parviens pas. A quoi bon ? Pourquoi penser ce que je ressens ? Pourquoi vouloir interroger ma tête ? Je sais pertinemment ce que je veux faire, ce qu’il va se passer, ce que j’ai à lui dire. Tout est si clair désormais. Je fais le vide, ferme les yeux. Je manque de m’assoupir. De retour ensuite à la cuisine, je me fais un gros sandwich que je mange devant la télé. Un rediffusion d’un côté, du snooker de l’autre. J’opte pour les queues, les boules et les trous, mais pas longtemps car je finis par vraiment m’endormir. Je suis réveillé en sursaut vers 1h du matin. On sonne à la porte. Je vais ouvrir, Christine est là, radieuse. Nous nous embrassons tendrement. Sa soirée était très sympa, entre filles. Elles ne sont finalement pas sorties et sont restées chez son amie à discuter et à jouer à des jeux de société. Une des ses amies l’a amenée chez moi. Nous passons directement dans la chambre. Baisers, caresses, mots doux. Christine me pousse dans le fauteuil et se met à danser lentement et lascivement devant moi. Elle joue avec sa robe et c’est seulement à ce moment-là que je me rends compte qu’elle porte désormais des bas blancs. Elle sourit. Elle me fait dézipper sa robe, s’ingéniant à ne rien me montrer tout en tombant les manches. Son strip-tease me rend fou. Elle dévoile enfin sa poitrine joliment moulée dans ...
    ... le soutien-gorge. Elle semble tellement heureuse. Alors qu’elle est dos à moi, elle lâche sa robe. C’est sur ses fesses que je découvre le porte-jarretelles blanc. Un symbole. Christine ne se retourne pas et continue de se déhancher, offrant à ma vue son fabuleux postérieur. Quel derche, mon Dieu ! Elle recule dans ma direction, me fait caresser son gros cul. Elle se tourne, s’agenouille devant moi et sort mon sexe : — Je te préviens, je suis indisponible. Elle sourit : — C’est ce qu’on va voir. Lentement et tout en délicatesse, elle me prend dans sa bouche. Quelle douceur ! Je bande dur, mais je n’ai pas mal. Sa langue monte et descend le long de ma pioche avec un soin étonnant. Après avoir gobé mes testicules, elle se redresse doucement : — J’ai envie que tu viennes en moi. — J’aimerais aussi, mais je ne peux pas. Ses yeux se foncent, elle sourit étrangement. Elle se lève, se tourne et s’agenouille au bord du lit. A quatre pattes, elle va d’avant en arrière, très lentement. Lorsqu’elle vient presque s’asseoir sur ses talons, ses fesses sont à moins de 50cm de moi. Dans les moindres détails : le blanc laiteux de sa peau, les jarretelles tendues qui s’impriment dans la chair, le string très fin qui parcourt sa raie, son petit trou qui dépasse de chaque côté de la ficelle, sa vulve rosée dont l’humidité s’est imprimée sur le tissu blanc du string. Je n’en reviens pas du spectacle que Christine me propose. Revenue à quatre pattes, elle fait le dos rond puis se cambre, resserre ...
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