1. Christine III : Les brûlures de l'aube (4)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: Hétéro

    ... puis écarte les jambes. Je suis fou. Christine redresse le buste, me regarde par dessus son épaule : — Alors ? — Alors quoi ? Elle se donne une fessée puis écarte une fesses. — Il ne t’excite plus mon gros cul ? Abasourdi. Stupéfait. Ai-je bien entendu ce que j’ai entendu ? Oui, car elle continue : — C’est pas un de ces petits culs serrés dont on se demande comment ils ne se brisent pas en levrette. Non. Le mien, c’est gros, c’est large, musclé : tu sais que tu peux taper dedans sans crainte. Elle marque une pause, se redonne une fessée et ajoute : — Viens t’accrocher à mes hanches, viens me prendre fort, martyriser mon cul de tes coups de hanches ! Je mouille tellement, mon vagin réclame ta bite ! En équilibre sur les genoux, elle écarte ses fesses des deux mains et le string d’un doigt. Sans lubrifiant, elle enfonce son majeur dans son cul. — Tu préfères par là ? C’est ça, hein ? Viens remplacer mon doigt avec ta grosse bite ! Viens m’enculer ! Tu m’as bien entendu : viens m’enculer ! La vraie place de ta bite, elle est là, plantée dans mon gros cul. Pas dans mon vagin, dans mon cul ! Elle a haussé la voix et j’ai perdu la mienne. Je me lève. Ma bite est tendue comme un arc et frôle ses fesses. Je suis secoué, remué. Je pose les mains sur ses hanches. Je les remonte sur ses flancs et redresse Christine. Elle ...
    ... se tourne, nous nous embrassons à pleine bouche, avec passion. Je monte sur le lit et nous nous y allongeons, toujours enlacés. Nous détachons nos bouches. Souriants, radieux. — Je suis bouleversé par ce que tu viens de faire, ma belle. Elle rougit. J’ajoute : — Et merci pour le porte-jarretelles. — Je l’ai pris juste avant de partir et je viens de le mettre, là, dans l’allée de ton immeuble. Je ris à mon tour. Nous nous embrassons à nouveau et nous caressons doucement. Elle ajoute : — Je me sens si bien avec toi, contre toi, dans tes bras. Elle m’embrasse : — J’aimerais te dire que je ressens fortement trois mots qu’il ne faut pas dire. jfgjkkud Je reprends un air sérieux : — A ce sujet, il faut que je te dise moi-aussi quelque chose. Le sourire s’efface sur le visage de Christine. Elle tente tout de même une plaisanterie : — J’espère que c’est pour me dire que tu as fait un choix entre mon vagin et mon anus, sinon je ne veux pas le savoir. Elle pense que les mots qu’elle va entendre vont la blesser une nouvelle fois, la faire replonger. Elle se dit certainement qu’elle ne devait pas venir ce soir et doit déjà le regretter. Quand bien même je n’ai pas l’impression de tarder, les quelques secondes entre ses mots et les miens semblent durer une éternité : — Tu penses que je devrais emménager chez toi ou toi ici ? 
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