1. Les leçons de piano d'Annie. (1)


    Datte: 16/02/2020, Catégories: Lesbienne

    ... badine appliqué rudement sur mes fesses m’a immédiatement fait obéir. J’ai fait glisser mon string pour l’ôter et j’ai enjambé le tabouret en m’asseyant de façon à ce que le sexe factice glisse devant ma vulve. Quand elle a relevé ma courte jupe, elle s’est exclamé : — Tricheuse, ce n’est pas comme cela qu’il faut se mettre ! Le gode doit être dans ta chatte et pas devant si tu veux ne plus bouger ! Je changeai ma position en me soulevant jusqu’à ce que le gland soit au contact de mon vagin. Surprise et excitée par le tour sexuel que prenait la leçon, j’étais lubrifiée. Je me laissai pénétrer en m’abaissant lentement jusqu’à ce que mes fesses reposent véritablement sur le coussin : - Voila, comme cela tu ne bougeras plus ton cul ! Le gode m’emplissait totalement la chatte et je sentais mon petit trou se déplisser au contact du velours. Humm, que c’était bon ! Ma leçon reprit, sans bouger et dans une posture irréprochable, j’interprétai mon nouveau morceau sans aucune faute ni observation de ma professeure. En me disant que c’était terminé pour ce jour, Annie vint se placer derrière moi en posant ses mains sur mes épaules légèrement dénudées par ma robe d’été légère. Je sentais le contact de son ventre contre mes omoplates. Elle a ensuite laissé glisser ses mains dans le décolleté de ma robe et venir masser mes seins de sa paume par-dessus la dentelle de mon soutien gorge. Je ne savais plus où j’en étais. J’avais déjà eu des relations saphiques avec des camarades de mon âge, ...
    ... mais avec une femme d’environ 40 ans… jamais ! Elle a ressorti ses mains pour les placer sous mes aisselles et imprimer à mon corps un mouvement de bas en haut qui faisait aller et venir le sexe factice dans mon vagin. C’était bon, j’avais le corps en fusion tellement les sensations étaient fortes. Alors que je ne m’y attendais pas la jouissance m’a envahie et je me suis embrochée le plus possible sur le gode pour bien le sentir au fond de moi. Ma professeure m’a fait me lever, me retourner face à elle et elle m’a enlacée, cherchant mes lèvres pour un baiser langoureux. Nous nous sommes embrassées ainsi quelques longues minutes jusqu’à en perdre le souffle. — Viens, nous serons mieux dans la chambre ! Autant le salon de musique était austère et fonctionnel, autant sa chambre ressemblait à un boudoir avec un lit immense, des coussins à profusion, des miroirs et, plein de gravures licencieuses encadrées, mettant en scène des groupes de femmes à moitié nues. Elle m’a enlacée à nouveau pour m’embrasser et faire descendre la glissière de ma robe. Je me retrouvais en soutien gorge, mon string était resté dans le salon de musique. Rapidement elle fut dans la même tenue que moi et en m’allongeant sur le lit, elle fit sauter l’agrafe de mon soutif. nbznaf Descendant entre mes cuisses ouvertes, elle est venue lécher la cyprine qui s’écoulait de ma chatte, titiller de sa langue mon bourgeon d’amour. Sous ces caresses, je passais par des alternatives de chaleur et de frissons, je sentais ...