1. Les leçons de piano d'Annie. (1)


    Datte: 16/02/2020, Catégories: Lesbienne

    ... les pointes de mes seins durcir. J’avais encore envie de jouir ! Et cela ne tarda pas. Une nouvelle vague de jouissance m’emporta. Annie est venue se placer tête-bêche au dessus de moi. Je savais quoi faire. J’avais sous mes yeux sa vulve aux grandes lèvres larges et découpées, percées et pourvues de petits anneaux dorés. Son nombril était percé aussi et orné d’un chapelet de petits strass. Je n’aurais jamais imaginé découvrir cela chez ma professeure. Elle trompait bien son monde avec ses vêtements plutôt austères et son allure sérieuse. Je mis mes mains sur le haut de ses fesses et je levai ma bouche jusqu’à sa vulve. Je dardai ma langue entre ses petites lèvres en remontant jusqu’au clitoris qui était sorti de son capuchon. Waouh, je n’en n’avais jamais vu un aussi gros, plus gros qu’une belle noisette et très saillant. Je pouvais presque le prendre en entier entre mes lèvres tellement il était sorti. Je ne me privai pas de le sucer longuement tout en introduisant deux doigts dans le vagin comme une bite de petite taille. Ces derniers n’ont pas tardés à être inondés de mouille. Annie me gratifiait des mêmes caresses. Je sentais que j’allais partir encore une fois et je retenais ma jouissance. Dans un râle profond Annie exhala son plaisir et je me lâchai à mon tour, emportée dans un tourbillon de sensations qui partait de mon sexe et montait le long de ma colonne vertébrale. Ce soir là (et la nuit qui suivit), je ne suis pas rentrée chez moi à l’internat. Ce fut une nuit ...
    ... de débauche comme je n’en n’avais jamais connue. Pour ma dernière répétition de l’année, j’ai réclamé le tabouret spécial pour terminer mon heure de cours. Annie est allée le chercher dans la chambre. Pendant ce temps, j’ai fait glisser mon string. J’étais prête à m’empaler au plus profond. Le sexe factice était amovible. Annie avait remplacé le gode de la première fois par un plus fin relié par un fil à une télécommande. Je le fis glisser dans ma chatte bien lubrifiée par l’envie et j’interprétai le prélude étudié ces dernières semaines sans aucune faute. Je venais de plaquer l’accord final quand soudain j’ai senti les vibrations du gode se propager dans mon vagin. Que c’était bon. De moi-même, j’ai commencé le mouvement de va-et-vient, sortant parfois complètement le sexe factice de mon vagin. Annie était derrière moi. Comme la première fois, je sentais son ventre contre mon dos. — Attention, je vais te faire goûter autre chose ! Laisse-toi guider ! Annie me prit par la taille et elle mit le gland factice à l’entrée de mon œillet plissé. Depuis que Gonzague m’avait sodomisé une première fois, mon cul était resté en l’état. Doucement Annie me laissa descendre, je sentis mon anneau plissé s’ouvrir et le gode pénétrer jusqu’à ce que mes fesses s’écrasent sur le velours. Les vibrations reprirent pendant qu’Annie caressait mes seins par-dessus ma robe. Quelles sensations merveilleuses. Ma jouissance est arrivée, brutale et immense, me laissant pantelante entre les bras de ma ...