1. Ma mère au bois dormant.


    Datte: 16/02/2020, Catégories: Première fois Hardcore, Mature,

    Je suis resté allongé un long moment contre maman, méditant sur cet acte contre nature que je venais d'accomplir. Ce soir-là, il n'y a pas eu d'autre masturbation. Avec beaucoup de précautions, je me suis levé pour regagner ma chambre où je suis resté longtemps les yeux ouverts dans le noir.Le lendemain matin redoutant notre confrontation, j’ai retardé au maximum l'instant de descendre dans la cuisine la retrouver.A mon grand soulagement, tout fut comme à l'accoutumée. Maman me servit mon petit déjeuner, il y eut peu de mots entre nous, elle avait le même air morne, bref je compris qu’elle ne s'était pas rendue compte de mes gestes de la veille !Je passais une journée fébrile la tête peuplée de mes souvenirs, de cette sensation merveilleuse de me retrouver dans ce sexe satiné et absolument inconnu de moi auparavant. Je m'imaginais le soir même faisant la même chose, nageant dans cette vulve si chaude et terriblement soyeuse.Rien que le fait de penser à l’instant sublime où j’enfoncerais ma bite dans la chatte de ma mère, ma queue enfla dans mon slip, déformant le devant de mon pantalon, provoquant une certaine gêne. Je comptais les heures qui me séparaient de l'instant fatidique, et ces heures là étaient interminables.Au fur et à mesure qu'avançait la soirée, une nervosité palpable me prit, mes gestes étaient maladroits et je faillis casser de la vaisselle dans la cuisine. Après un frugal dîner, je me forçais à rester devant la télé attendant que maman aille se coucher. Je ...
    ... ne comprenais pas grand-chose à ce qui défilait sur l'écran, tant mon esprit était tendu vers ce but ultime : mettre ma bite dans la chatte maternelle…Enfin maman m'annonça qu'elle montait se coucher, un immense sentiment de plaisir m’envahit. Je fis mon possible pour cacher encore un peu ma hâte, me forçant à rester les yeux rivés sur un écran blafard, ne comprenant rien à ce qui s'agitait devant mon regard.Au bout d'une demie heure, je m'ébrouais comme sortant d'une paralysie et le cœur battant je montais les marches en essayant de faire le moins de bruit possible. Je jetais un rapide coup d’œil à l’intérieur de la chambre maternelle afin de me rendre compte si maman s’était endormie. Un léger ronflement me rassura. Je me hâtais de regagner ma propre chambre où je me déshabillais entièrement.Entièrement nu, la queue dressée, je revins sur la pointe des pieds vers la chambre de ma mère. Tout allait bien. Avec les précautions qui m'étaient maintenant familières, je me glissais auprès de maman, tout contre son dos. J'attendis un instant, guettant le moindre changement de rythme de sa respiration, mais rien ne m'indiqua une quelconque différence. Précautionneusement, j'écartais les fesses de ma main et glissais mon membre vers la grotte sacrée.Mon gland glissa avec plus de maîtrise vers la fente où la veille il était entré presque par erreur. Nouvel arrêt, nouvelle attente. Rien. Je poussais et ma verge entra plus loin. Je poussais encore pour la faire entièrement pénétrer dans ...
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