1. Ma mère au bois dormant.


    Datte: 16/02/2020, Catégories: Première fois Hardcore, Mature,

    ... être. Je frémis à l'idée d'une telle éventualité.Ce soir-là, je ne me suis pas masturbé sous son nez comme j’aimais à le faire. J’ai attendu d’être dans mon lit pour me branler, bercé par le doux souvenir d'un vagin chaud et si accueillant.Je ne voudrais pas alourdir le récit par la répétition de ces nuits à la fois torrides et parfaitement vicieuses. Que l'on sache seulement que je revenais chaque soir dans le lit de maman et que je la baisais à son insu, introduisant ma queue dans son sexe pour une pénétration parfaitement i****tueuse.Jamais maman ne se rendit compte de quoi que ce soit. Je passais aussi de longs moments, penché entre ses cuisses dans l'examen gynécologique de sa fente, découvrant les chairs roses de l’intérieur de sa vulve, ainsi que son clitoris. J'aimais aussi caresser ses seins, ils étaient réactifs et je sentais bien que mes frictions avaient pour conséquence de faire saillir ses tétons.Cela m'amusait beaucoup, je titillais ses mamelons et souriais d'aise de voir les petits bourgeons de chair pointer à mes sollicitations.Cependant, il est arrivé que des soirs où, particulièrement excité, je n'eus pas le temps « de sauter en marche ». Ces soirs-là j'étais anxieux et je m'appliquais à nettoyer au mieux les dégâts que j'avais occasionnés, avec un gant de toilette je récurais au mieux le sexe de maman.Je savais bien que cela était bien insuffisant et je m'angoissais pour quelques jours, et puis l'insouciance et le désir me reprenaient et je la rebaisais ...
    ... de plus belle.Ainsi passa le temps, il me devint de plus en plus naturel de venir le soir voler des instants de vice auprès de celle qui m'avait donné le jour.J'étais comme l'amant de ma mère, à ceci près qu'elle ne savait pas qu'elle avait un amant !Et puis les choses changèrent petit à petit. Maman eut des moments d'angoisse suivis de moments de francs abattements. Je la sentais nerveuse.Malgré tous les médicaments qui lui furent prescris, rien ne semblait calmer ce qui l'angoissait. Un jour elle est allée consulter notre médecin de famille, et quand je suis rentré, je l'ai trouvée prostrée et pleurant sur le canapé. J’eus comme une intuition, et soudain mon univers s'est effondré.Je me suis approché de maman, je me suis assis à côté d'elle car mes jambes refusaient de me porter davantage. Elle a continué à pleurer la tête basse et j'étais à ce moment là le plus malheureux du monde. J'ai voulu mettre ma main sur son bras mais elle a reculé avec force. J'étais glacé d'effroi.Je suis resté là près d'elle un long moment, nous n'avons rien dit ni l'un ni l'autre. Après, j'ai trouvé la force de me lever et de monter dans ma chambre où j'ai pleuré aussi. Je ne sais pas combien de temps cela a duré. Soudain j'ai entendu ma porte s'ouvrir et des pas furtifs s’approcher de moi.Je n'ai pas bougé de mon bureau, la tête entre mes bras. Une main sur mon épaule me tira de mon chagrin, je relevais la tête, les yeux brouillés par les larmes, je ne vis ma mère qu'à travers un brouillard ...
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