1. Hélène 5 : Une si longue attente, 1ére partie.


    Datte: 17/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pertuis fendu. Ca y est, il est en moi. Il veut s’agiter , mais d’une pression sur la fesse, je l’arrete. Je veux profiter de cet instant où il me remplit. Ce n’est certes pas un taureau, mais il est vigoureux. Sa verge fait un agace-cul tout à fait honorable. Une tape sur le derrière, et mon étalon prend le pas. Une deuxième, et il trotte. Une claque, et il entame un galop frénétique, mes coups de reins l’accompagnent, je délire, je lui murmure des encouragements grossiers - Bourre-moi, baise-moi. Un autre coup sur la fesse de mon bel animal, et c’est le triple galop. Il m’emporte dans sa cavalcade. Je m’accroche à son cou, puis je l’étreins et lui plante mes ongles dans le dos. Il se cabre, et en me percutant, il me délivre sa semence. S’en est trop, je spasme et je m’effondre. ooOoo Pendant ce dimanche avant le départ, nous saisissons toutes les occasions de nous manifester notre tendresse. Et le soir, nous nous endormons l’un dans l’autre, après un gros câlin tout en douceur. Au matin, sa place est vide, il est parti, je suis au bord des larmes, presque sept jours et autant de nuits à attendre. Dans la cuisine, comme un mot d’amour, à côté du couvert du petit déjeuner, il a posé une rose, cueillie du matin dans notre jardin, encore emperlée de sa rosée. La semaine se passe. Bien sûr, nous nous téléphonons tous les soirs. Le mercredi soir, son appel dure deux heures. Deux heures qui passent trop vite. Et je me retrouve seule à onze heures. Depuis lundi, j’ai pris son ...
    ... oreiller pour m’endormir dans sa divine odeur. J’ai passé la cinquantaine et j’ai besoin de mon doudou pour dormir ! Je collectionne tous ses SMS. Le jeudi matin, l’un d’entre m’informe qu’il quitte la région d’Ankara, pour Istanbul pendant deux jours. Il ajoute à ses messages, quelques photos. Il pourrait m’envoyer l’annuaire téléphonique du moment qu’il m’écrit. Tous les soirs, je me retrouve seule dans notre grande maison, en attendant ses appels. J’étais si heureuse, quand il m’a demandé d’emménager chez lui. Maintenant, pendant son absence, notre nid me semble hanté. Mon Pierre me manque physiquement. Nous sommes un couple tactile. Nous avons besoin de nous toucher. Toutes nos journées commencent par une étreinte, un câlin, puis dans la journée, des effleurements, des baisers volés, des mains qui se frôlent, et tous les soirs, nos corps se collent et s’abandonnent à l’autre avant le sommeil. Au fur et à mesure que la semaine avance, son absence devient de plus en insupportable, je suis en manque de lui. Mon seul réconfort, je le trouve dans mes cicatrices. De temps en temps, je passe mon doigt sur la marque de ma fesse, ou je me tords devant le miroir pour l’apercevoir. Je ne sens presque plus de douleur quand je m’assois, juste une sensation, à la limite de la chatouille. Plus haut, un trait bleu assez fin traverse ma poitrine. Pierre a fait attention de ne pas léser les chairs qui maintiennent mes seins. Je sens juste une légère électrisation quand je suis la trace avec le ...
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