1. Hélène 5 : Une si longue attente, 1ére partie.


    Datte: 17/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Hélène 5 : Une si longue attente, 1ére partie. Récit d’Hélène - Marque-moi mon Chéri ! Nous sommes vautrés, ou plutôt emboités l’un dans l’autre dans le canapé de notre nouveau salon. Mon coquin est allongé contre le dossier, et je me colle contre lui. J’ai écarté les pans du kimono de mon sultan, puis j’ai troussé le mien. Ainsi, mon cul est directement au contact du ventre et du vit de mon homme. Pour garder un peu de chaleur, j’ai rabattu le kimono de Pierre sur moi. Mon sultan a glissé sa main droite dans l’ouverture de mon peignoir, et empaumé mon sein droit. De l’index, il agace le mamelon à sa portée. J’ai lâché ma queue de cheval, et Pierre y a enfoui son nez, il respire l’odeur féminine de ma chevelure de sultane. Pour compléter le tout, une couette légère nous recouvre. C’est notre position de cocooning préférée, pas tout à fait nus, pas habillés non plus, nos corps s’épousent et échangent leur tendresse. - Marque-moi, mon Chéri ! - Pardon ? Interroge Pierre, surpris par cette demande. Je me retourne vers lui, moule mon corps sur le sien, pose ma tête sur la poitrine et le serre. - Toute la semaine prochaine, tu seras en Turquie, et tu me laisseras seule, dans notre maison, jusqu’à dimanche soir. - Je veux te sentir en moi, sur moi. Ajouté je. - Non, je ne veux pas te fouetter. - Ca ne t’a pas déplu, l’autre fois. - L’autre fois oui. Mais là non. Confirme-t ’il - Pierre, tu portes ma marque, laisse-moi porter la tienne pendant ton absence. Dis-je en caressant la ...
    ... panthère qui mord le cou de Pierre. - Ce n’est pas pareil, la panthère, c’est deux ou trois heures de chatouillis. La cravache, c’est douloureux. Je vais te faire mal. Répond mon amour - Chaton, souffrir par ta main n’est pas souffrir. Quand je me donne à ta cravache, c’est à toi que je me donne. - Je le sais, mais je n’en ai pas envie. - S’il te plait mon amour. - Arrête, ma beauté, je ne veux pas. A moitié fâchée, je tourne le dos le dos à mon amant, et rabat mon Kimono entre mes fesses et lui. Pierre retire sa main de mon décolleté. Le silence s’installe entre nous. Un ange passe. Puis Pierre perçoit une ondulation prés de son bas ventre. Impression suivie d’un petit coup de cul. Une caresse légère comme de la soie qui se retire et la sensation satinée de ma peau contre sa verge. Pour compléter le tout, ma main s’empare de la sienne et la replace sur le sein droit. - Tu fais toujours la gueule. - Oui, Monsieur, je fais la gueule, mais dans un souci d’apaisement, je laisse à mon gros cul, et à mes nibards, leur autonomie de décision. - Chère Madame, on ne dit pas « gros cul » mais croupe opulente. Quant à l’expression nibard, vous la remplacerez par seins, nénés, poupoutes. Vous éviterez aussi nichons, mamelles, pour qualifier votre poitrine. Je reviens sur le sujet de notre fâcherie - Je ne te comprends pas, Chéri. Face à cette proposition, n’importe quel homme, normalement constitué, foncerait au rayon équitation de Pentathlon. - Hélène, je ne suis pas n’importe quel homme, ...
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