1. Louis-David


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail parking, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio,

    ... n’était pas si mauvais que j’aurais pu le penser de prime abord. Il était même plutôt compétent dans son domaine et il avait vraiment de bonnes idées. C’est au niveau des rapports humains qu’il était particulièrement nul. En cas de conflit, il venait se cacher sous mes jupes (enfin, façon de parler), j’étais un peu son paravent et son rempart face à l’adversité. J’avais remarqué en particulier que les secrétaires se foutaient volontiers de sa gueule : c’était peu charitable et trop facile, mais l’âme humaine est ainsi faite. Moi, il ne me dérangeait pas, j’éprouvais presque de l’affection pour lui. J’aurais voulu qu’il se redresse, qu’il soit plus combatif et moins sensible aux aléas. Mais, quand il était en difficulté, l’instinct maternel reprenait le dessus et je le défendais bec et ongles contre ses détracteurs. L’ensemble fait que, globalement, j’étais plutôt contente de cette nouvelle recrue. C’est alors que je pris peu à peu conscience de son manège : Il n’arrêtait pas de me mater. Un bouton d’ouvert et ses yeux s’infiltraient, dès qu’ils le pouvaient, dans le moindre petit interstice. Mais il n’y avait pas qu’avec moi qu’il faisait ça, il faisait pareil avec Sophie. Avec les secrétaires aussi : peut-être est-ce pour cela qu’elles se gaussaient de lui ! Un bout de sein et il fallait qu’il regarde, une cuisse dénudée et il zieutait tout autant. Etait-il encore puceau pour être à l’affut de la moindre parcelle de chair nue ? À 32 ans, j’avais du mal à le croire. En tout ...
    ... cas, il n’était pas homo comme certains le laissaient parfois entendre. Au contraire, les femmes l’intéressaient bougrement. Mais lui n’intéressait personne, il faut dire aussi qu’il n’était pas spécialement beau et que son malaise existentiel n’était pas là pour rassurer. L’été approchait et il faisait particulièrement chaud dans les bureaux. Sophie avait une course à faire ce jour-là et, en fin d’après-midi, je me suis retrouvée seule à travailler avec Louis-David. Mon corsage était très légèrement entrouvert et, comme à son habitude, mon collègue passait son temps à regarder mon soutien-gorge. Difficile de se concentrer dans ces conditions, d’autant plus que, de mon côté, j’en étais à mon septième mois d’abstinence et que d’être ainsi sous le regard d’un voyeur un peu pervers commençait à me donner quelques idées. Ceci dit, il aurait pu être mon fils et je n’imaginais pas que ce puisse être un bon amant. Il n’y avait plus personne, à part nous, sur le plateau, alors je me suis dit dans mon for intérieur : « Mon petit vieux, puisque tu en veux du spectacle, eh bien je vais t’en donner moi du spectacle ! » Profitant d’une pause, je file aux toilettes et me débarrasse prestement de mon soutien-gorge. J’ai des seins relativement petits mais, quand même, ça lui assure une jolie perspective. Un coup de crayon dans les yeux, une bonne couche de rouge à lèvres, du fard à paupières, je me refais une beauté et me parfume abondamment. Je me regarde dans la glace : certes, je ne suis ...
«1234...7»