1. Louis-David


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail parking, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio,

    ... complètement trempée. À mi-chemin, il m’a retournée pour me prendre par derrière, en levrette, en me claquant les fesses. Il me tenait les hanches et me faisait crier. Je jouissais, je ne savais plus du tout où j’en étais. J’avais parfois envie que ça s’arrête, mais beaucoup plus encore qu’il continue. Il m’a encore tournée et, sur le point de non retour, il m’a une nouvelle fois invité à le sucer. Sa verge était luisante de mes sécrétions. Je l’ai embouché sans rechigner. À nouveau, il m’a baisé la bouche. Lorsque je l’ai senti venir, je n’ai pas eu la possibilité de me retirer. Il m’a rempli la bouche, a continué sur mon visage, il m’en a mis partout. J’ai d’ordinaire horreur du goût du sperme mais, excitée par la situation, j’ai tout avalé. Il a même poussé le vice jusqu’à récupérer avec ses doigts le jus qui dégoulinait le long de mes joues pour me le faire lécher. J’étais hagarde. Complètement nue, assise sur la moquette, le visage englué par sa semence. Il s’était relevé et me regardait avec envie, presque la bave aux lèvres, avec ses petits yeux vicieux qu’il avait toujours lorsqu’il matait mes seins. Je devais avoir l’air ridicule, mon maquillage avait coulé. Devant moi, son sexe tout mou était encore tout gluant. Il avait vraiment de belles couilles, épaisses, charnues, lourdes et poilues. Ça m’a donné envie, j’ai tendu la main pour les soupeser puis je me suis agenouillée pour les lécher. J’avais envie qu’il me baise encore, je ne voulais pas que ça s’arrête. ...
    ... Malgré l’odeur de sperme, je l’ai pris à nouveau dans ma bouche. Peu à peu, je sentais son sexe reprendre de la vigueur, il excitait ma convoitise. Une fois bien dur, il me tendit la main et m’aida à me relever, puis il m’embrassa à nouveau à pleine bouche en pétrissant mes fesses. Il passa ensuite derrière moi, plaquant son corps contre mon dos. Je sentais sa queue dressée entre mes fesses, il m’embrassait le cou, le lobe des oreilles, me donnant des sensations dans tout le corps. J’étais hors de moi, tous les sens en éveil. Il avait pris mes seins dans ses mains, il les malaxait, grossièrement, à m’en faire mal. Puis il prit les pointes et les fis rouler entre ses doigts, il les pinça très fort, m’arracha quelques cris de douleur, ce qui ne l’empêcha pas de continuer à les étirer. C’est alors qu’il me fit pencher vers le bureau. La saillie fut rapide, violente, instantanée, il me transperça d’un coup, s’enfonçant en moi jusqu’à la garde avant de me pistonner à un rythme d’enfer. C’était incroyablement bon. Cela dura un temps singulièrement long, un vrai délire. Nous ne disions pas un mot, nous nous contentions de gémir chacun de notre côté, des bruits bestiaux remplissaient toute la pièce. À chaque coup de boutoir mes seins râpaient la table, c’était terriblement excitant. Je n’en pouvais plus, je jouis à nouveau en envoyant valdinguer tous les dossiers par terre. Mais il me baisa encore avec force un long moment, en ahanant. Je n’en pouvais vraiment plus. Quand il s’est retiré ...
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