Au parc avec un copain d'école - Histoires de Sexe

Au parc avec un copain d'école

... j’avais été cachée au fond de la classe, je l’aurais sûrement fait, mais là où j’étais, au troisième rang, avec des camarades de classe autant devant que derrière moi, ainsi que de chaque côté, je ne pouvais pas vraiment me le permettre. Ce n’était pourtant pas l’envie qui me manquait. La cloche de midi me libéra et je me suis précipitée dehors pour attendre Francis. J’avais déjà en tête plusieurs scénarios que j’avais mûrement réfléchis en classe. Francis me fit attendre cinq bonnes minutes avant de me rejoindre. Je lui pris la main et l’invitai à me suivre. — Allez ! Viens vite ! On a pas mal de choses à faire !— Tu es si pressée que cela ? me demanda-t-il en me voyant l’entraîner avec moi dans une course folle, le traînant derrière moi tout en lui tenant fermement la main. La queue était déjà longue devant la sandwicherie. Nous n’échangions que de rares mots, Francis et moi, au milieu du brouhaha provoqué par les autres étudiants palabrant en attendant d’être servis. Nos sandwiches en main nous partîmes vers ce parc situé à quelques minutes de là. Ce parc sert de promenade le dimanche pour les familles. En semaine, ce sont plutôt des étudiants tels que nous qui le fréquentent. Il est très vallonné. Il y a beaucoup de végétation, de grands arbres et des arbustes qui créent des coins plus intimes. Souvent nous y voyons des couples d’amoureux profitant de la tranquillité des lieux pour y batifoler sur les bancs publics ou allongés dans les pelouses. Nous avons choisis un ...

... banc placé entre deux pins et isolé dans un petit espace. Le chemin de promenade passait à 20 mètres de nous et traversait ce coin du parc en partant dans trois directions, toutes vers le bas : une à droite de nous et les deux autres à gauche. Francis se doutait-il de pourquoi j’avais choisi ce coin précis ? Bien sûr, quelques promeneurs, rares cependant, passaient dans ce coin du parc, mais en général personne ne s’y arrête si quelqu’un occupe déjà le seul banc qui s’y trouve et sur lequel nous étions assis. Francis s’assit sur le banc, le dos appuyé sur le dossier. De mon côté je préférai prendre un peu de hauteur en m’asseyant sur le dossier du banc, à ses côtés. J’avais les cuisses assez écartées et les passants avaient tout loisir de plonger leurs regards sous ma jupe. Mon sexe prenait l’air et avec le vent cela permettait à mon sexe de respirer et à moi-même d’oublier un peu mes fantasmes. Je palabrais de choses et d’autres avec Francis, de nos cours, de la vie, etc. De temps à autre, des promeneurs passaient sur le chemin, 20 mètres devant nous, sans jamais s’arrêter, mais en regardant en notre direction. Certains appuyaient cependant un peu plus leurs regards, probablement pour essayer d’apercevoir quelque chose sous ma jupe. Francis avala son sandwich plus rapidement que moi et il voulu enchaîner sur une cigarette qu’il me réclama. En bonne copine, je sortis mon paquet de clopes de mon sac de cours, mais c’est en lui tendant le paquet que je me suis rendue compte de ma ...