1. Au parc avec un copain d'école


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, jeunes, couleurs, copains, nympho, grossexe, jardin, école, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio,

    ... bêtise. En effet, dans mon paquet de clopes se trouvait mon string que j’avais quitté le matin même. Je l’avais roulé en boule pour le cacher dans le paquet de cigarettes, pour ne pas me promener dans les couloirs du lycée avec mon sous-vêtement à la main. Le temps que Francis se saisisse du paquet et ne l’ouvre, j’avais eu le temps de devenir aussi rouge que mon étui de cigarettes. Francis remarqua de suite ce bout de tissu bourré au côté des cigarettes. — Qu’est-ce que c’est ? me demanda-t-il. J’étais incapable de répondre quoi que se soit. Mon cœur était soudainement tout serré et il battait très fort. Francis extirpa le petit string puis, le tenant du bout des doigts, me le mit sous le nez. — C’est à toi ce string ?— Oui, répondis-je avec une voix emprise de timidité.— Et ça t’arrive souvent de ranger tes fringues avec tes clopes ? me demanda-t-il en éclatant de rire.— Non, c’est pas ça, c’est que je l’ai quitté ce matin… lui dis-je en toute franchise. Mon honnêteté était affligeante. Je me rendais perverse de lui dire cela comme ça. Pourquoi l’aurais-je enlevé ? En même temps, cette nouvelle situation eut vite fait de m’exciter au plus haut point. Dans un grand élan de perversité, je me mis à lui faire des propositions indécentes… — Tu veux voir ?— Voir quoi ?— Mon sexe, lui dis-je, voir si je suis bien nue sous ma jupe.— Que de la gueule, me lança-t-il pour me provoquer. Je me mis debout sur le banc, les pieds de chaque côté de lui et remontai ma jupe. Mon intimité ...
    ... luisante de cyprine se présenta à hauteur de son visage, tout près de son nez. — Que de la gueule alors ?— J’avoue que tu as du culot, me dit-il.— Et toi, tu oseras venir lécher mon petit sexe qui bave de plaisir ? lui demandai-je plus provocante que jamais. Francis regarda derrière moi si quelqu’un nous observait puis il glissa ses deux mains sous ma jupe pour me caresser les fesses. Je posai mes genoux contre le banc et Francis se retrouva alors avec mon sexe collé contre son nez. Il n’avait plus d’autre choix que de lécher la cyprine qui coulait de mon intimité jusque sur le haut de mes cuisses. Il me lécha d’abord par de grands coups de langue rapides, tel un chat lapant dans sa gamelle de lait. Il s’abreuvait de mon jus intime comme un mort de soif. Ensuite, comme pour en avoir encore plus, il vint titiller mon clitoris du bout de sa langue. C’était si bon que mes jambes en flageolaient. Je crus m’évanouir tellement sa langue me donnait du plaisir. Mon sexe se faisait fontaine rien que pour la bouche assoiffée de Francis. — Tu as une capote ? lui demandai-je, rajoutant encore de la perversité à l’instant présent. Je fus surprise par mes propres mots. Me voilà en train de proposer à un simple copain de classe de vite enfiler une capote parce que j’avais une grande soif de sexe, de son sexe. Je ne me reconnaissais plus. Comment pouvais-je être aussi salope que cela dans mes propos ? Je me comportais comme une chienne et Francis semblait apprécier. Il continua à me donner du ...
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