1. Enfin nous nous parlons


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail intermast, Oral fdanus,

    ... dans un cendrier. Anne plongea sa main entre nos deux corps et caressa mon sexe du bout des doigts. Elle avait senti le début d’érection qui se formait sous ses cuisses. Ma main commençait à remonter le long de ses jambes. J’avais une position enviable, me permettant de disposer de son intimité à ma guise. Sa cuisse était ferme et sa peau très douce. En remontant jusqu’en haut, je sentis quelques gouttes sur sa toison, sans doute liées à nos ébats quelques instants plus tôt. Ma main se promena sur son pubis, récolta quelques gouttes et les porta à ma bouche. Je me délectais de son arôme tout en la regardant droit dans les yeux. — Ça a quel goût ? me demanda-t-elle.— Tu n’as jamais goûté ?— Non… je n’ai jamais osé.— Disons que c’est moins bon froid mais que c’est aussi un peu moins fort. Je reposai ma main entre ses cuisses en introduisant un doigt lentement en elle. Ce fût un délice. Son désir revenait lentement. Elle fût surprise par cette intromission et frissonna de tout son corps. Lorsque mon doigt ressortit, il était luisant de mouille et de sperme très liquide. Je le portai à ses lèvres pour lui faire goûter. Un peu réticente, elle le prit lentement en bouche pour le sucer doucement. Lorsque mon doigt fût totalement propre, elle dit : — C’est un peu fade, non ? Je ne lui laissai pas le temps de dire autre chose. Ma bouche s’empara de la sienne et ma langue en fouilla l’intérieur sans retenue. J’avais une furieuse envie d’elle, très forte, très animale. Elle le sentit ...
    ... et répondit à mes avances en me serrant le sexe plus fort de sa main restée entre nous deux. Ma main reprit le chemin de son intimité, lui écarta les cuisses et se rua sur son clitoris que je pris entre deux doigts pour le faire rouler. Elle poussa un cri étouffé mais ses lèvres restèrent plaquées aux miennes, sa langue entrant totalement dans ma bouche. Sa position n’était pas très confortable et sa main eu tôt fait de ne plus me toucher, absorbée par le traitement que je lui infligeais. Ses cuisses s’écartèrent doucement. Elle s’abandonnait à mes caresses devenues plus pénétrantes. Je la tournais lentement pour la mettre dos à moi, mon sexe allongé entre ses fesses, les cuisses écartées autour des miennes. Ma main disparaissait de ma vision, entre ses cuisses, et je pus bientôt y faire entrer deux, puis trois doigts. Des sons rauques sortaient de sa gorge. Sa respiration devenait sourde, saccadée. Mes doigts, trempés de son jus, entraient et sortaient d’elle à un rythme plus rapide. Lorsque mon autre main prit sa cuisse gauche pour la remonter, elle poussa un cri plus fort, signe de son premier orgasme. Je décidai alors de continuer la danse quelques instants encore afin de récolter le plus possible de sécrétions. Une fois calmée, ma main descendit sur son périnée, entre les fesses et la vulve. Elle caressa cette peau si fine et prolongea son exploration plus bas. J’attendais, je guettais une réaction d’Anne qui ne vint pas. Mon majeur, tout enduit de son jus, vint titiller ...