1. Enfin nous nous parlons


    Datte: 17/02/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail intermast, Oral fdanus,

    ... sa corolle déjà bien ouverte par l’écartement de la cuisse gauche. Je tournais autour du bouton, ne sachant pas quel accueil j’y trouverais. Lentement, très lentement, une phalange entra en elle. Elle poussa sur son anus, gage d’acceptation. — Doucement Eric… c’est la première fois Pour toute réponse, je l’embrassais dans le cou et poussais encore un peu plus sur mon majeur, prenant possession de son fondement. Mon pouce remonta lentement sur son clitoris pour lui administrer une danse vigoureuse. Elle gémit encore et explosa une nouvelle fois alors que le majeur sortait et venait en elle comme un petit sexe. Mon sexe à moi, comprimé sous son bassin, devenait douloureux. Je lâchai son anus pour déboutonner son chemiser et l’embrasser dans le cou, puis remonter sous son oreille. Elle semblait épuisée, étourdie de plaisir. C’est pourtant elle qui posa alors ses mains sur mes jambes et souleva son bassin pour se mettre debout. En se tournant, elle écarta mes cuisses et se mit à genoux devant moi, sachant très bien qu’elle se retrouverait face à mon sexe tendu, pointant fièrement vers le plafond. Sans le toucher, ses mains reposant sur mes cuisses, elle approcha sa bouche et embrassa le bout. Elle sortit la langue pour lécher le liquide sortant du méat, puis ouvrit grand la bouche et enfonça mon sexe dans sa gorge, tout au fond. Elle fît tourner sa langue autour de mon membre et remonta en aspirant fortement. Plusieurs aller-retour de cette nature provoquèrent des spasmes ...
    ... qu’elle reconnu immédiatement. Ses mains attrapèrent les miennes pour les poser sur sa tête. Elle voulait visiblement aller jusqu’au bout. J’imprimais alors un mouvement de cadence et voyais mon sexe disparaître dans sa bouche formant un puits. La situation ne dura pas très longtemps, je sentais la sève monter en moi. Mes mains s’agrippant à sa tête, elle prit mon sexe à sa base et laissa sa bouche autour du gland au moment même où j’éjaculais en longues salves. Elle eu un haut le cœur, vite réprimé, et laissa mon sperme dégouliner le long de sa joue et de mon sexe. Je voulais qu’elle en garde un bon souvenir. Aussi, rapidement, je pris son visage entre mes mains et le portai à ma bouche, l’embrassant partout, récupérant les traces de ma jouissance, avant de l’enlacer tendrement. Nos bouches se séparèrent quelques instants plus tard, repues, épuisées par ces efforts. Au bout de quelques minutes, je reboutonnai son chemisier en lui indiquant l’heure : 23h35 ! — Il est temps, non ?— Je ne veux pas partir… Je ne veux pas que tu me laisses !— Pas question de te laisser. Tu veux venir dormir chez moi ? Elle réfléchit quelques instants. — Non, pas ce soir. Je peux t’appeler demain ?— Je suis à la boutique demain. Tu peux me joindre quand tu veux. Elle se rhabilla. Moi aussi. En quelques minutes, nous avions atteint le parking de l’immeuble où nous avons échangé un merveilleux baiser. Au moment de monter dans sa voiture, elle se tourna vers moi : — Eric, j’ai des choses à t’avouer. Je ...