1. Le pot de départ (5)


    Datte: 18/02/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Suite : Nous nous rendons d’abord dans le bureau de son adjointe, Virginie, une superbe femme également. Je la baise sur son bureau et la prend en photo avec mon sexe enduit de mouille sur son visage. Puis nous faisons un tour dans la salle de repro où elle se plait à monter sur la photocopieuse et à poser jambes écartées pour moi. Je l’ai ainsi baisé, enculé, doigté, dans la plupart des pièces que je croisais, c’est-à-dire les bureaux des anciens collègues, la cuisine collective, l’espace détente, etc. Nous arrivons à mon bureau. — Je veux que tes souvenirs ici soient mémorables. Comme ça, tu ne pourras t’empêcher de mouiller lorsque tu iras voir mon remplaçant ! Sur mon bureau, je la baise et l’encule aussi sauvagement que possible. Elle hurle littéralement alors que je lui défonce le cul en lui claquant les fesses. Puis, voulant vraiment marquer sa mémoire, je retire ma queue de son fion et y enfonce d’un coup mon poing. Elle hurle de surprise mais je ne lui laisse pas le temps de se plaindre. J’enfile ma queue dans la chatte et la lime généreusement alors que ma main va et vient dans son cul. La sensation sur ma bite est divine car mon poing crée une pression énorme sur les parois de son vagin. L’impression, je suppose, d’une bonne double pénétration, chose que je n’ai pas encore eu la chance de tester. Séverine a l’air de prendre un pied d’enfer vu les couinements qu’elle émet et le fil de bave qui s’allonge depuis sa langue pendue, la bouche grande ouverte. J’ai ...
    ... soudainement envie de la faire jouir. Alors que je la sens monter, je retire mon sexe de sa chatte et la remplace par ma main gauche, encore libre jusque-là. J’avoue que, cette fois, j’étais beaucoup plus à l’étroit et avec, un poing dans la chatte, un autre dans le cul, les orifices de Séverine devaient être proches de leurs limites en terme d’élasticité. Cela ne l’empêcha pas de jouir comme une démente alors que je jouais avec mes mains en elle. Je les retire doucement alors qu’elle est encore secouée de spasmes impressionnants. Elle s’avachit alors sur mon bureau et dit péniblement : — Ooohhh, laisse… moi… deux minutes…. Ok ? — Pas de soucis… De toute façon, j’ai quasiment épuisé mon stock d’idées perverses et bestiales ! Je profite de ce répit pour la prendre en photo avachie sur mon bureau, cul tendu, chatte et anus grand ouverts, luisants de mouilles et de sueurs. J’attends qu’elle se remette de ses émotions et je la traine à nouveau dans les couloirs de l’entreprise pour la ramener dans son bureau. Cette fois-ci, je lui fais faire le chemin à quatre pattes et profite de la superbe vue de son cul tendu qui se dandine à chaque pas et de son anus encore bien ouvert après l’intense traitement que je lui ai fait subir. Evidemment, je ne résiste pas à la tentation de quelques coups de bite de temps en temps. C’est la première et dernière fois que je peux baiser Séverine, alors autant en profiter. Nous arrivons donc dans son bureau, moi avec un sexe en béton à deux doigts d’exploser ...
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