1. Le pot de départ (5)


    Datte: 18/02/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... et elle avec une chatte et un anus défoncés et dégoulinant de mouille, de sueur, de salive… — Maintenant, c’est à moi de jouir enfin, lui dis-je alors qu’elle était encore à genoux devant moi. Suce-moi et fais-moi venir dans ta bouche. Sans dire un mot, elle se rapproche, se saisit de mon sexe et commence à me sucer. Elle alterne pompage de gland, léchage de bourses et gorge profonde si bien que je me sens déjà monter au bout de quelques minutes seulement. Sans l’avoir averti, j’explose alors qu’elle a ma queue profondément enfoncée dans sa gorge. Mon premier jet, puissant, lui remplit directement l’estomac et lui provoque un haut-le-cœur. Elle sort mon sexe de sa bouche immédiatement alors que celui-ci continue de l’arroser de sperme. La grosse gorgée qu’elle recrache en partie lui coule entre les seins jusque sur le ventre alors que d’autres jets lui couvrent le visage et la poitrine. Surprise par une telle quantité, elle lâche mon sexe et s’essuie un œil, touché par un jet brulant. J’ai donc tout loisir de diriger mon éjaculation là où je le veux et je fais donc tomber les dernières gouttes de sperme directement dans sa bouche. Soulagé et épuisé, je m’allonge par terre, à côté d’elle. Elle m’imite tout en récupérant du sperme du bout des doigts et en le portant à sa bouche. — Evidemment… tu avales… — Evidemment ! C’est tellement délicieux… J’y suis accro. Je me redresse en m’appuyant sur mon coude et récupère avec ma main une grande partie de foutre sur son corps. — Alors ...
    ... avale ça ! Elle s’exécute et gobe en deux gorgées le reste de ce qui reste probablement ma plus grosse éjaculation. — C’était extraordinaire, me dit-elle. Merci beaucoup ! — Merci à toi pour ce cadeau… Ca me ferait presque regretter de partir ! Désolé, mais il faut absolument que j’aille pisser. Je me relève donc pour me diriger vers la sortie. Mais, une fois debout, et alors que l’excitation retombe, je constate l’état de Séverine et de son bureau. Elle est vautrée par terre, nue, décoiffée, avec son maquillage qui a coulé sur son visage, maculée de trace de sperme, la gorge, le visage et les fesses rougies par mes gifles et mon étranglement. Ses orifices portent encore les traces de la bataille : son vagin et son anus restent entrouverts alors que ces lèvres pendent. Autour d’elle, le chaos. Ses affaires sont éparpillées partout, son bureau est de travers, avec une flaque de pisse dessus qui ruisselle par terre. Il y a des traces de sueur et de bave sur le sol et les murs. Je me sens alors choqué et honteux d’être le responsable de tout ça, d’autant que l’excitation que me maintenait dans un état second jusqu’ici disparait. Je bafouille : — Putain… Séverine, je suis désolé… Je ne pensais pas être allé si loin… Excuse-moi… — Oh, ne t’excuse pas, Julien. C’est exactement ce que je voulais et ce que je t’ai demandé. Tu as été parfait et tu m’as donné bien plus de plaisir et de satisfaction que je n’imaginais au début. — Ah ?... Bon… Je… Je dois vraiment aller aux toilettes : ...