1. Marie et moi sur les chemins de la perversion (5)


    Datte: 18/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... repensa au patron du club libertin la regardant gémir sous les caresses de moi et Natacha au bar et cela lui créa une boule au ventre, s’il me voyait, pensait-elle. Cela acheva de mettre ses sens en émoi. Elle se maquilla et vint me rejoindre au salon. Je savais que cette rencontre déboucherait sur un trio, mais je voulais rester maître du jeu de soumission que j’avais initié avec Marie. Je voulais qu’elle soit sous mon contrôle lors de cette rencontre, le choix de la tenue qui était limite pour une sortie en public était un premier pas, j’avais pris pendant qu’elle se préparait les boules de geisha et son rosebud dans la chambre et les avais posés sur la table du salon en évidence. Je voulais qu’elle les porte pour moi et se sente ma chienne à ce rendez-vous. Marie arriva au salon, prête à sortir, elle fut surprise à la vue de ses jouets sur la table. Le salaud pensait-elle certainement, il a décidé de me torturer encore, mais son corps loin de suivre ses pensées réagissait à l’inverse. Cette fois-ci sa chatte était trempée. "Poses tes mains sur la table basse salope !" dis-je. Son esprit disait non, c’est trop, mais son corps accepta l’ordre et elle se pencha sur la table. "Écartes les cuisses !" dis-je. Sans même penser, en bonne soumise, ses cuisses s’écartèrent dans l’attente de la pénétration. Elle sentit le rosebud glisser d’abord dans sa fente avec satisfaction et ce jusqu’à ce qu’il soit bien lubrifié. Puis je le présentais sur sa rosette et appuyais... La douleur ...
    ... commença à se faire sentir seule puis le plaisir vint s’inviter lorsque son anus céda pour laisser entrer l’intrus. Les boules vinrent ensuite. Je les faisais aller et venir tout d’abord sur sa chatte pour les lubrifier. Dans la tête de Marie les photos de la bite de Priapre défilaient mélangées au visage du patron du club assistant à sa déchéance au club. Elle dégoulinait. La première boule passa dans son vagin suivie rapidement de la seconde. Je tirais sur leur cordelette pour voir si elles étaient bien en place. Cette stimulation fit réagir de suite Marie l’image de Natacha lui branlant sa chatte lui apparut, son bassin ondulait mais le plaisir ne fut que de courte durée car le la laissais sur sa faim. "Voilà, tu es prête maintenant ma salope !" dis-je. Marie se redressa, elle se sentait remplie, chaque mouvement lui rappelait que ses trous appartenaient à son maître. C’était comme s’il la caressait virtuellement. Les premiers pas sur ses hauts talons pour rejoindre la voiture furent un doux supplice pour elle. Arrivés à Port Fréjus au parking, il nous restait 300 mètres à faire à pieds sur un sol pavé. Je savais qu’à chaque pas les boules s’entrechoquant provoqueraient de contractions de son vagin et par la même de sa rosette sur le rosebud, j’étais aux anges. Marie se leva pour sortir de la voiture, le fait de ce simple geste provoqua une vibration dans les boules qu’elle fit mine d’ignorer pour ne rien laisser paraître du trouble dans lequel je l’avais mise. Elle lissa sa ...