1. Marie et moi sur les chemins de la perversion (5)


    Datte: 18/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... prendre son verre elle dut décroiser les jambes ce qui lui amena un regard plus appuyé de Priape qui devait maintenant apercevoir dans la pénombre de sa jupe la ficelle des boules de geisha. Prise de folie, voulant qu’il bande pour elle et elle ne recroisa pas ses jambes mais s’enfonça dans le canapé verre à la main guettant les réactions de son futur étalon qui ne se firent pas attendre vu la bosse qui se formait dans le pantalon de notre interlocuteur. Les présentations finies, j’en venais à ce moment au but de notre rendez-vous et indiquais à Priapre ce que nous voulions et ne voulions pas. À savoir un seul interdit pour lui la sodomie car moi seul y avais droit. Il se tourna vers Marie et lui demanda ce qu’elle aimerait qu’il lui fasse. Surprise en pleine observation de la bosse maintenant énorme de son pantalon elle répondit dans un murmure : "Tout ce que vous voudrez Monsieur." "C’est une sacrée coquine que tu as !" Me dit-il. "Oui et encore tu n’as rien vu." répondis-je en souriant. Je passais alors la main sous la jupe de Marie et tirais un peu sur la cordelette des boules de geisha. Elle couina surprise. "Tu veux l’aider à enlever ses boules de geisha, cela fait longtemps qu’elle les porte." dis-je. Marie était abasourdie par ce qu’elle venait ...
    ... d’entendre. Son cœur battait la chamade, Priapre n’allait quand même pas faire cela ici ? Mais l’homme se leva et se pencha par-dessus la table, puis tendit la main vers son entrecuisse. Elle était morte de honte mais ses cuisses s’écartaient d’elles même pour faciliter le passage de cet envahisseur. Tout son corps était tendu. Il prit son temps saisissant la cordelette il tira doucement. Marie sentait les boules dilater la sortie de sa chatte mais la soif de plaisir qui habitait son corps commandait son âme elle lui faisait contracter sa chatte autour des boules. Sentant une résistance plus forte Priapre tira d’un coup sec sur le fil faisant sortir la première boule et un Hoooo de plaisir de Marie. Elle était en feu. Il lui aurait demandé de la baiser là elle aurait dit oui. Un nouveau coup sec fit sortir la dernière boule et un nouveau Hoooo l’accompagna il donna à Marie ses boules quelle cacha vite dans son sac. Personne n’avait fait mine de remarquer notre manège. Il était maintenant près d’une heure du matin. — Quand êtes-vous libres nous demanda-t-il ? Je vous invite chez moi quand vous voulez... Marie le fixa comme une salope et répondit : "quand tu veux..." Nous prîmes rendez-vous pour le samedi soir suivant. Et partîmes chacun de notre côté. À suivre..... 
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