1. Les Templiers - Épisode 2


    Datte: 21/09/2017, Catégories: fh, fhh, jeunes, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Partouze / Groupe historique,

    ... entend bien faire rendre gorge à cet insolent qui ne veut pas lui céder. Un gémissement enfin brise le silence de la nuit. — Ah… Majesté, de grâce, cessez ! Je demande merci. Aliénor sent la bête qui tressaute dans sa main. À force d’être tourmenté, le damoiseau a lâché une longue giclée qui se perd dans les étoiles. Sa main, gluante de semence, brille dans la nuit. Elle la retire doucement et du bout des doigts, elle fait signe à Godefroy de se rapprocher. Les chevaux sont maintenant flanc à flanc. Le templier ne peut s’empêcher de protester. — Majesté, que faites-vous de notre vœu de chasteté ? Elle n’en a cure, Aliénor la douce, Aliénor la rebelle. Elle a sauté au bas de sa monture et maintenant elle se fait hisser par Godefroy dont elle empoigne à son tour le vit avec ardeur. Elle le caresse longtemps, mais fait tant et si bien que sa semence éclabousse finalement la crinière du destrier. — Où allons-nous ?— Au camp de l’ost royal où notre bon roi vous attend afin de poursuivre son pèlerinage vers la Terre Sainte.— D’ici là, le chemin est encore long. Je vois une forêt. Faisons halte, chevaliers. Je suis lasse et voudrais me reposer. Ainsi est fait, car nul ne peut contrevenir aux ordres de la reine. Aliénor regarde les deux jeunes gens qui ont mis pied à terre et lui font face. Elle caresse un instant l’écu noir et blanc frappé de la croix rouge qui est accroché au flanc de chaque selle. — Le sceau de votre ordre montre deux chevaliers chevauchant un destrier. Pourquoi ...
    ... ? Savez-vous que de mauvaises langues racontent que vous êtes bougres ? Godefroy et Amaury se regardent, hésitants. C’est Godefroy qui prend la parole. — Majesté, nous ne possédons rien et partageons tout. Nous avons fait vœu de pauvreté et donnons tout à l’Ordre. C’est blasphème et calomnie que de supposer que nous sacrifions à Sodome ! Aliénor sourit doucement. — Je sais. C’est pourquoi je vous ordonne de respecter l’esprit de votre règle. Cette nuit, je serai la monture et vous les cavaliers. Je le veux. Sa cape a glissé à ses pieds. Le souffle court et le cœur battant, les deux chevaliers du Christ contemplent le corps parfait de leur souveraine, la plus belle femme d’Occident, un corps qui n’est plus drapé que d’un léger voile la protégeant de la fraîcheur de la nuit. Godefroy rompt le silence. — Dame, c’est là faire don de merci. Nous sommes vos féaux et ferons selon votre volonté. Tombent alors surcots, braies et blancs manteaux. Épées, baudriers et chausses gisent aux pieds de deux corps nus, secs et maigres, forgés par les privations et les épreuves. Leur peau tannée contraste avec la blancheur d’Aliénor dont les opulentes rondeurs se dessinent à la faible clarté des étoiles. Protégés par l’obscurité de la sylve, les deux garçons se donnent à leur reine. Sans résistance. Elle s’est mise au milieu d’eux, à genoux, tend ses bras blancs et les prend dans ses mains douces, empoignant fermement le pommeau d’une épée de chair que chacun de ces chevaliers du christ brandit ...
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