Les Templiers - Épisode 2
Datte: 21/09/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
Partouze / Groupe
historique,
... aussitôt : — Il est vieux et usé. Majesté, il vaut mieux que vous preniez ma monture. Elle est en meilleur état. Pour la première fois dans leur longue amitié, les deux jeunes gens semblent prêts à en découdre. — Du calme, chevaliers, j’irai à pied si cela peut vous éviter une guerre. Godefroy sourit. — La route est longue, ma reine, et le chemin poudreux.— Alors je ferai avec l’un la route et avec l’autre le chemin. Amaury prend la reine en croupe. — Majesté, je sais bien qu’une telle posture ne convient point à une dame de haute naissance, encore moins à une reine, mais nécessité fait loi. Nous n’avons point d’autre monture à vous offrir. Aliénor s’en amuse. Elle passe les bras autour du torse puissant du jeune chevalier et se laisse bercer par le balancement lent et régulier de son destrier. Le templier sent ses lèvres frôler sa nuque, son cou. Elle y dépose un baiser léger et parfumé. Sans mot dire, elle passe doucement une main fine sur sa poitrine puis sous le pan de la tunique blanche frappée de la croix de l’ordre, ses doigts habiles délacent le haut-de-chausse du cavalier, les pans de ses braies s’affaissent de chaque côté de ses cuisses, dévoilant ses parties honteuses. Le membre est déjà raide et les bourses pleines. La queue est courte et massive, facile à empoigner. Amaury n’en laisse rien paraître, mais il comprend que l’épreuve, la vraie, celle que Dieu devait leur envoyer pour les soumettre à la tentation, vient de commencer. Aliénor lui souffle à l’oreille ...
... : — Je vais jouer de l’un et de l’autre à ma fantaisie. Et la vaillance que vous montrerez déterminera la part que chacun de vous aura en ma compagnie. Il n’en mène pas large, Amaury. Combattre les Maures en Espagne et les Sarrasins en Orient, il sait faire, mais comment se refuser à une reine ? Et il se remémore les paroles du Grand Maître « ses désirs sont des ordres ». Alors, il se tient droit et n’en laisse rien paraître. La main agile a commencé à dresser la bête, droite, élancée vers le ciel. Aliénor calque son léger va-et-vient sur le pas lent du cheval, et ses doigts noués autour de la verge du templier montent et descendent au rythme que lui imprime sa monture. Son pouce fait de petits cercles sur le bout arrondi de cette queue virginale et, au souffle court du chevalier, elle devine que ses défenses sont en train de tomber. Délaissant la verge gonflée, ses doigts caressent parfois distraitement les testicules durcis telle une pierre ou caressent son ventre et le soubresaut du garçon montre que son impassibilité trouve là ses limites. Dans la fraîcheur de la nuit, chevaux et cavaliers vont doucement, exhalant de petits nuages de vapeur. La route sera encore longue. Aliénor s’est collée au dos du chevalier, elle a pris maintenant la tige épaisse dans ses deux mains et, sans mot dire, la branle vigoureusement, peau douce dans une main de fer. La résistance du jouvenceau a fait naître au bas de ses reins un fourmillement de plaisir qui l’irrite et la stimule et elle ...