1. L'insoutenable perversité de l'être


    Datte: 18/02/2020, Catégories: f, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, sm, fouetfesse, journal,

    ... relancé : — Est-ce que tu lui fais des plats chauds, Alexandra ? Yannick a répondu à ma place : — Très chaud ! Ce qui a re-déclenché l’hilarité générale. D’autres blagues ont continué d’alimenter le sujet et puis ils se sont mis à délirer sur le type de vengeance qui pourrait satisfaire Cathy. De fil en aiguille, la tablée s’est improvisée en tribunal pour rire. Yannick en était le président, Cathy la plaignante, moi l’accusée et les autres délibéraient. Je trouvais cela moins drôle, mais je jouais mon rôle bravement. Nous étions tous beaucoup trop éméchés pour réaliser vraiment ce que nous faisions. C’était à celui qui dirait la plus grosse bêtise, jusqu’à ce que Cathy suggère : — Comme je pourrais presque être sa maman, je ne vois en fait qu’une bonne fessée ! Nous avons tous ri, mais la suggestion semblait plaire. Chacun a émis son opinion, on m’a demandé mon avis et j’ai avoué dans un silence total que je trouvais cela honorable. Alors le président Yannick a énoncé le verdict : — Nous te condamnons à recevoir sur-le-champ une fessée de la plaignante pour m’avoir séduit. Au regard de l’acte accompli et de ses conséquences, tu t’en tires à bon compte ! En fait, il se donnait le beau rôle du pauvre garçon abusé, sans se remettre du tout en question. Je me suis levée et, de façon théâtrale, j’ai remercié le jury pour sa clémence ; tout le monde a applaudi. Puis tout s’est enchaîné comme dans un mauvais rêve. Cathy s’est levée, elle est venue près de moi, a déclaré avec ...
    ... beaucoup d’adresse qu’elle ne regrettait pas d’avoir mis sa confiance entre les mains d’un tribunal aussi avisé et qu’elle se sentait prête à accomplir sa vengeance. Je souriais, debout à ses côtés. J’étais rouge écarlate de tous ces regards tournés vers moi, mais cela pouvait être mis sur le compte de l’alcool. Je ne me rendais pas vraiment compte de ce qui allait se passer. Mes voisins de table ont poussé les assiettes devant moi, je me suis accoudée sur l’espace ainsi dégagé. Je portais pour la circonstance une tenue de soirée constituée d’une jupe noire, d’une veste assortie sur un boléro blanc, d’une paire de bas résille ainsi que des escarpins à talons aiguilles. Cathy a retroussé ma jupe, dévoilant ma petite culotte de dentelle et tout le monde a poussé avec espièglerie un cri d’émerveillement. Malgré mon état d’ébriété, je ressentais de la honte et aussi une inexplicable excitation. Certains se sont levés pour avoir une meilleure vue sur l’application de la sentence. Cathy a commencé à frapper du plat de la main, pas suffisamment fort pour certains qui réclamaient plus de sérieux de la part du « bourreau ». Elle a alors appuyé un peu plus ses claques, ce qui a déclenché les exclamations ravies des spectateurs. C’était un beau brouhaha ! J’endurais cela sans trop d’état d’âme, rien d’autre qu’une certaine honte, mais je gardais le sourire pour tous ceux qui guettaient mes réactions. Pour corser les choses, une femme a prétendu que l’application de la peine n’était pas ...
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