1. L'insoutenable perversité de l'être


    Datte: 18/02/2020, Catégories: f, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, sm, fouetfesse, journal,

    ... vous n’en faites pas usage, vous pourrez l’utiliser en objet de décoration. Confuse, j’ai balbutié un remerciement. Yannick s’est mis à questionner Cathy sur sa passion pour l’équitation tout en entamant le tiramisu que j’avais confectionné. Nous avons mangé le gâteau, la conversation étant alimentée uniquement par les deux autres. Puis ce fut l’heure du café que nous avons pris à table. Les cuillères tintaient contre le bord de nos tasses, chacun étant occupé à remuer le breuvage, quand Yannick a brusquement déclaré : — Tu sais que la petite mise en scène qui a eu lieu à ton anniversaire a marqué l’esprit d’Alexandra ?— Que veux-tu dire ? a demandé Cathy en m’observant. Je me suis tout de suite sentie mal à l’aise. — Je veux dire qu’elle a dû prendre goût à cet exercice, puisque maintenant elle me réclame la même chose ! L’atmosphère devenait irrespirable pour moi. Je ne savais plus où me mettre. Yannick a repris : — Je n’ai malheureusement pas ton talent et j’ai bien peur de la frustrer en lui refusant cette faveur ! J’ai balbutié : — Oh, Yannick, pourquoi lui parles-tu de cela ? Cathy souriait, énigmatique, attendant la suite. — Parce que j’ai compris combien tu en avais envie, ma chérie. Les conditions ne sont plus celles de cette fameuse soirée, nous sommes entre nous et tu n’as pas à en être gênée ! J’ai bu une gorgée de café pour me donner une contenance. Mais il est revenu à la charge : — En fait, je me disais qu’avec l’accord de Cathy nous pourrions peut-être ...
    ... improviser une nouvelle séance du même genre ! J’étais stupéfaite. Cathy a raillé : — Tu ne veux tout de même pas refaire ce simulacre de tribunal, nous ne sommes pas assez nombreux !— Non, je veux juste offrir à Alexandra l’occasion de réaliser ce fantasme qui l’a tant troublée. Ils me scrutaient du regard, guettant mes réactions. J’ai baissé la tête, ces allusions mettaient mon âme à nu. Je me sentais cernée, acculée, et l’identité de mes tourmenteurs ajoutait encore à mon trouble. Une chaleur déroutante envahissait mon corps. Yannick a posé sa main sur la mienne. — Tu en as envie, Alexandra. Je comprends que cela t’est difficile de nous le confirmer, mais je sais que tu le désires. Il caressait le dos de ma main, je gardais la tête baissée. Mon cœur battait si vite, une multitude de sentiments contrastés me traversaient l’esprit. Il a repris d’une voix posée, presque trop douce : — Nous allons décider pour toi, ma chérie. Tu n’auras qu’à te laisser guider. La situation m’échappait totalement. J’étais incapable d’émettre ne serait-ce qu’un avis sur ce que l’on me proposait. Je me sentais à la dérive, bateau ivre. La suite me revient par bribes, comme des scènes irréelles entrecoupées de moments inconscients. … Yannick près de moi qui m’aide à me relever. Cathy qui caresse mon visage. Yannick qui me prend dans ses bras et qui m’embrasse pendant que Cathy glisse ses mains sous ma jupe et baisse ma culotte. Le corps de mon amant épousant mon côté pile, celui de ma maîtresse pressant ...