1. Retour en train


    Datte: 18/02/2020, Catégories: fh, extracon, train, pénétratio, fsodo, confession,

    ... et repartir. Mais je reste muette quand il donne une adresse dans le 8ème au chauffeur. Je regarde les trottoirs. Nous restons silencieux. Arrêtés à un feu, je me tourne vers lui, décidée à lui dire que le jeu a assez duré. Son regard me cloue à nouveau, comme dans le train, et je n’ai pas le temps de parler. Il a saisi ma main et la caresse doucement. Je sens des frissons m’envahir. Sa main est chaude et douce. Il se penche sur mes lèvres pour me donner un baiser. Je le laisse faire. Quand sa langue cherche la mienne, je ne résiste pas. Un nuage de papillons vole dans mon ventre. J’ai chaud. Mon téléphone sonne. Je me dégage pour répondre. C’est mon mari. Il me demande si je suis bien arrivée et dans combien de temps je serai à la maison. Je lui dis que oui, je suis bien arrivée, mais je rentrerai plus tard. « Je t’expliquerai… » lui dis-je, énigmatique. Mon téléphone raccroché, l’homme revient chercher ma salive que je lui offre volontiers. Il sait maintenant qu’il va pouvoir profiter de moi, abuser de ma gentillesse, visiter mon intimité, et voir de moi un peu plus qu’une jambe dans un train. Sa main a quitté la mienne pour me caresser le genou. Il reste sage, mais cette caresse furtive me chauffe déjà terriblement. Arrivés à destination, il décharge les valises et m’invite à le suivre. Nous entrons dans un immeuble moderne. Son logement est au rez-de-chaussée. C’est meublé avec goût, contemporain, frais et aéré. Il me débarrasse de ma veste, me prend par la main pour ...
    ... m’attirer contre lui. Il me prend dans ses bras et me pousse lentement vers un mur. Il m’embrasse dans le cou, me caresse les hanches, me presse les fesses. Ses mains remontent à mes seins, durs et tendus. Je mouille. Je lui ôte sa veste et déboutonne sa chemise. Son torse est à peine poilu, comme j’aime. Je lui lèche les tétons avec avidité. Il se laisse caresser. Je le guide vers le tapis pour qu’il s’allonge ; je ne cesse de le toucher. Je baisse son pantalon tout en embrassant son ventre. Il me reste son boxer à ôter pour dégager son sexe déjà raide. J’ai très envie de le sucer, de sentir ce mâle dans ma bouche, de goûter à son gland violet. Il se laisse faire, détendu. Peut-être est-il déçu de ne pas avoir eu à lutter davantage pour me mettre dans son lit. À nos âges, on n’a pas de temps à perdre. Il est très, très dur. Je remonte vers son visage pour l’embrasser et pose un genou de chaque côté de son bassin. Je remonte ma robe, écarte un peu ma culotte et guide son sexe à la découverte de mon vagin impatient. Ça rentre tout seul tellement je suis mouillée. Il tire sur ma robe pour me déshabiller, puis dégrafe mon soutien-gorge. Mes petits seins aiment sa langue, ils aiment être mordillés ainsi. Ça me fait grimper aux rideaux. J’ai très envie qu’il me prenne par derrière, comme une chienne. Je me dégage et fais glisser ma culotte. Je m’agenouille pour lui tendre mon cul. Vite. Il me fait languir. Il s’agenouille derrière moi pour écarter mes fesses et me lécher. Quel salaud, ...