1. La gérante de la galerie d'art (16)


    Datte: 19/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Quand je reviens dans le salon rouge, Jenna semble un peu « partie ». Elle a dû écluser quelques coupettes à bulles et s’est laissée porter par l’ambiance un peu euphorique. Ses yeux brillent et roulent. Elle semble ne même pas prêter attention au fait que chaque homme qui passe près d’elle lui pelote et lui palpe un peu les fesses. Jusqu’à ce que le maître de maison, un homme mûr ténébreux, d’allure sévère bien que bienveillante, l’attrape par les cheveux et la force à s’agenouiller sans violence mais avec fermeté. Il lui colle son gros phallus bien dressé sous le nez, et comme elle met un peu de trop temps à commencer ce qu’il attend d’elle, il lui empoigne la tête, appuie sur sa nuque et force sa bouche. Il se livre alors à de longs va-et-vient rapides qui s’accompagnent de gros bruits de succion obscènes. Pour ma part, il y a un moment que j’ai repéré une blonde qui fait concurrence à Jenna : en effet, je n’ai quasiment pas vu son visage mais ce qui m’attire mes yeux, outre sa longue chevelure, c’est sa croupe bien moulée par une jupe courte qui s’arrête à dix centimètres au-dessus de des genoux… et elle porte des bottes en cuir et des bas fumée. Tandis qu’elle est en train de piocher avec contentement dans les petits fours, je m’approche de son dos. Mes mains se posent sur son postérieur. Je lui ordonne de ne pas se retourner. Elle frissonne. Je palpe goulûment à travers le tissu rêche ses fesses bien musclées, en prenant mon temps, en en appréciant la fermeté. Mes ...
    ... mains descendent jusqu’au bas de sa jupe, crissent sur le nylon des bas, jusqu’aux plis des genoux, puis se mettent très lentement à remonter sous la jupe. Je lui murmure : « - J’espère pour vous que ne portez pas un horrible collant, Madame… ou du moins, si vous en avez un, que votre fessier est nu… sans culotte sous ce collant… Je ne supporte que les bas auto-fixants ou les collants porte-jarretelle. Si tel n’était pas le cas je me serais dans l’obligation de vous punir… et sévèrement (quel que soit votre propriétaire…) ! Vous vous êtes déjà fait zébrer le fessier avec des verges de coudrier, très chère… ? » Elle balbutie, visiblement très émue - son émotion n’étant sans doute pas étrangère au fait que je l’empêche de voir qui est cet homme qui s’est soudain emparé de son postérieur et lui murmure près du cou, d’une voix basse et très calme, ces propos pervers : « - Euh… non, je ne mets pas de collants… enfin, quand je viens ici… — Parfait » dis-je d’un ton satisfait, alors que mes mains remontent sous sa jupe, sur le nylon des bas qui gainent parfaitement ses cuisses… Je pousse un grognement de contentement quand mes doigts trouvent la peau nue du haut de ses cuisses, qui se hérisse immédiatement de chair de poule. Je palpe un peu cette chair souple et douce, mais la quitte vite pour redescendre… et avant qu’elle n’ait le temps de réagir j’ai déjà attrapé le bas de la jupe que je retrousse d’un seul geste assuré, jusque sur ses reins. Sans qu’elle n’ait le temps de protester ...
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