1. La gérante de la galerie d'art (16)


    Datte: 19/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... cris qui ne laissent aucune place à l’équivoque. La femme est en train de prendre son fade, elle se lâche tout à fait, et tout son corps secoué de spasmes se met au diapason de ses cordes vocales. Jenna semble un peu répugnée en revanche pour ce qui est du léchage de la petite rosette : je suis obligé de lui appliquer avec force sa bouche contre le petit trou de la blonde en lui enjoignant méchamment : « - Bouffe-lui le cul ! Allez, bouffe-lui bien sa petite rondelle, enfonce ta langue, astique-la bien ! Il faut qu’elle soit bien lubrifiée. » Le maître des lieux a trouvé aussi qu’elle ne montrait pas assez de zèle à cet ouvrage : son poignet implacable a zébré trois fois de suite et de façon rapprochée son fessier offert. Jenna a poussé des cris de douleurs, mais ce traitement a été fort efficace et l’a vite ramenée à la raison : nous la voyons s’agiter énergiquement, langue bien tendue, gougnotant la petite pastille avec frénésie. Il la laisse la faire reluire un petit moment puis lui attrapant les cheveux il la force à se relever : « - Allez, soumise Jenna, mets-toi en position. A côté de ta collègue, tu t’appuies sur la table comme elle. » Puis s’adressant à moi : « - Je vais l’enculer – je pense que vous le permettez puisqu’elle est venue pour ça ; pendant ce temps vous défoncerez cette blonde qui semble vous avoir fait tant d’effet… Ensuite nous échangerons nos places. Je pense que vous ne serez pas déçu… elle est très bonne par le cul… j’en sais quelque chose : c’est ...
    ... ma belle-sœur et présidente de l’association paroissiale. Allez-y sans retenue, sans douceur… n’ayez crainte, très cher, elle adore ça ! » Sans autre forme de procès, sans autre préparation que celle que la langue de Jenna lui a prodiguée, je me mets en place, présente mon vit gonflé, tendu à éclater, devant le petit orifice, et je lui enfonce le gland. Elle se met à gémir, puis à crier tandis que j’investis son anus, progressant sans pitié dans le canal étroit. Tout à côté le hurlement de Jenna en écho nous fait tressaillir : l’hôte, monté comme un âne, enfonce d’un seul tenant son gourdin dans l’orifice terriblement étroit de la belle brune… « - Ne vous laissez pas apitoyer, cher ami » lui dis-je, « elle réagit toujours comme ça, mais elle adore se faire enculer comme une chienne. — Je n’ai pas l’habitude de me laisser attendrir » grimace-t-il, les dents serrées, « et j’adore profaner d’aussi beaux culs… » « - Et ma belle-sœur » me demande-t-il après un silence, « comment trouvez-vous son cul ? — Exquis, mon cher, exquis. Il est délicieusement serré, mais souple et doux comme du velours — le meilleur » continue-t-il en besognant avec peine Jenna qui lutte, continue à gueuler, essaie d’échapper à l’emprise des mains de son enculeur - mais les mains grandes et puissantes, telles le serres d’un rapace, ne lâchent pas sa taille, « c’est d’imaginer chaque fois qu’on encule cette belle blonde bcbg que c’est cette même femme qui enseigne la catéchèse à nos enfants le dimanche ! — ...