1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (25) Nouvelles séances SM


    Datte: 19/02/2020, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... alors de mon corps entièrement à leur merci. Ils malaxent mes seins, tirent sur les tétons avec leurs dents. Pendant ce temps une femme caresse ma chatte. Tout ce spectacle est éclairé de grandes bougies, dont la lueur fait danser les ombres sur les murs de la pièce. Je suis effrayée et très excitée à la fois. Maintenant on me fait mettre sur le matelas à quatre pattes. Les hommes se succèdent sur moi, je suis prise sans ménagement par tous les orifices, réduite à un simple objet de plaisirs. Je jouis encore et encore. Je suis ensuite allongée sur un matelas, avec autour de moi cinq hommes et trois femmes, qui sont en train d’assouvir leur plaisir sur mon corps entièrement à leur disposition. Les hommes se succèdent dans mes orifices, les femmes cherchent avant tout à me faire mal et martyrisent mes tétons. Je fus ensuite entravée sur une croix de St André. Un homme, équipé de fines aiguilles, me pique. A chaque piqûre je me trémousse sur ma croix. Puis ma bouche est obstruée par une boule maintenue par un collier. Mes tétons sont pris dans des pinces. On me donne des coups de cravache, qui laissent de vilaines marques sur ma peau. Après un long moment, je suis libérée. Quatre femmes de l’assistance s’équipent de ceintures en cuir noir, sur lesquelles sont fixés de grands godemichés noirs. Cela leur fait des bites énormes et longues. Deux des femmes se placent devant et derrière moi, et sans ménagement, me prennent en sandwich. Je crie sous la violence des pénétrations. Les ...
    ... deux dominatrices font aller et venir leurs sexes noirs dans ma chatte et mon cul avec violence et avec une cadence de métronome. Le spectacle est incroyable, les autres participants rythment les pénétrations en criant des injures. Je me mets à jouir telle une bête. Philippe ne perd pas une miette du spectacle. Les deux tortionnaires continuent quelques instants leurs va et viens. Puis elles sortent leurs faux membres. Les autres femmes équipées de gode, les remplacent immédiatement et me pénètrent à leurs tours. La danse reprit, jusqu’à ma jouissance. Après cette scène, je reconnais que j’ai perdu le sens des réalités, je n’ai jamais pu imaginer que l’on pouvait faire cela, autant de violence pour obtenir le plaisir. Rachid avait fait venir son ami Ahmadou, d’origine sénégalaise. Je regarde, avec envie et inquiétude l’incroyable engin qui pend entre ses jambes. • Ahmadou, elle est à toi, tu vas la saillir, tu vas la baiser, t’inquiète sa chatte va accueillir ton mandrin. Regardez les amis, avez-vous déjà vu une telle salope ? • J’ai peur, il est trop gros ! • Et en même temps, tu en as envie, non ? • Oui, viens Ahmadou, prends moi en levrette, baise-moi, démonte-moi ! Lorsque le membre géant d’Ahmadou me défonce, je crois mourir tellement mon sexe fut perforé par ce mandrin. Sans me laisser de répit, les coups de reins commencent, chaque coup fait pénétrer ce burin un peu plus loin dans mes entrailles. Le volumineux gland frappe le fond de mon vagin, mon corps entier tremble. ...
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