La suite de ma vie avec Aline
Datte: 21/09/2017,
Catégories:
fh,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
coprolalie,
vacances,
... regrettait déjà ses paroles mais je ne lui laissai pas le temps de réagir et je partis en claquant la porte. Je fis un grand tour dans le parc, essayant de me calmer mais sa dernière phrase tournait dans ma tête. Quand je revins, il faisait nuit. Elle était couchée. Je m’allongeai sur le divan pour réfléchir. J’étais allongé depuis quelque temps quand je l’entendis me dire d’une toute petite voix : — Je suis désolée mon chéri, je ne voulais pas te dire cela. Toujours en colère, je ne bougeai pas et fis semblant de dormir. — Tu dors ? Non tu ne dors pas, je le vois bien ! Elle repartit dans la chambre où je l’entendis se mettre à pleurer. Je mourrais d’envie de la rejoindre pour la prendre dans mes bras et la consoler mais mon orgueil, ce P… d’orgueil qui nous pourrit si souvent la vie m’empêcha de me lever et d’aller la rejoindre comme j’en avais envie. Puis ses pleurs se sont calmés et, comme chaque fois qu’elle est très fatiguée, je l’entendis ronfler. Quant à moi, je dormis très mal. Quelques périodes d’oubli ponctuées de beaucoup d’insomnies. Je réfléchissais à tout ce qui venait de se passer. Cette façon qu’elle avait eu de se comporter m’avait déplu mais en même temps, pour être tout à fait honnête, excité. Me rappeler Roger en train d’essayer de la caresser et entendre son rire, me donna même un début d’érection. Je ne savais plus quoi penser. Lorsque j’étais seul, il m’était souvent arrivé de fantasmer sur une partie à trois, deux hommes s’occupant d’une femme. ...
... Généralement, d’ailleurs, il m’arrivait de penser faire cela avec mes amis Brigitte et Patrick. Mais là, cela me semblait différent. C’était réel. J’aimais Aline, nous envisagions de nous marier, et elle s’était laissée faire avec un autre homme. D’un autre côté, elle avait raison, même si elle faisait l’amour avec un autre, je savais que c’était moi qu’elle aimait. Je ne savais plus où j’en étais. La seule chose de certain dans mon esprit, c’est que je l’aimais et que je ne pourrais pas vivre sans elle. Que devais-je faire ? Quelle était la solution ? Puis comme d’habitude, je réfléchis beaucoup et pris ma décision. Quand, ce fut fait, je pus enfin dormir un peu. Le super marché du parc ouvrait à 7 heures. Je me levai doucement et partis nous chercher de quoi nous faire un bon petit déjeuner. Je lui pris aussi des fleurs pour me faire pardonner. J’étais toutefois un peu inquiet quand j’approchais du bungalow. Devais-je la réveiller ? Attendre qu’elle se lève toute seule ? Serait-elle calmée ou au contraire encore plus en colère contre moi parce que je n’avais pas répondu à ses avances de la nuit ? Et si elle me quittait ? Quand je rentrais, je n’eus pas à me poser la question plus longtemps : elle était debout en larmes, téléphone à la main. J’eus immédiatement le cœur serré. — Qu’est-ce qu’il y a, ma chérie ? C’est ta grand-mère ? Elle me regarda interloquée. — Non ! Et de nouveau, elle fondit en larmes avant de me dire : — J’ai cru que tu étais parti. Que tu m’avais laissée ...