La suite de ma vie avec Aline
Datte: 21/09/2017,
Catégories:
fh,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
coprolalie,
vacances,
... tomber et que tu étais tellement en colère que tu avais laissé ton portable pour que je ne puisse pas te joindre. Ce fut seulement à ce moment-là que je vis que c’était mon portable et non le sien qu’elle avait en main. Alors, je jetai plus que je ne déposai tout ce que j’avais en main sur la table et, me précipitant vers elle, lui dis : — Tu es folle ! Moi te laisser tomber ! Je t’aime et je ne pourrais jamais vivre sans toi. Je l’embrassai et tout de suite elle répondit à mon baiser. — Je suis désolée, mon chéri, je ne voulais pas te faire du mal mais j’étais en colère.— Attends ma chérie, j’ai beaucoup réfléchi et je vais te dire ce que j’en ai ressorti. Comme je te l’ai dit, j’ai beaucoup pensé cette nuit, j’ai très mal dormi. Je sais que tu m’aimes, alors si tu as envie de faire l’amour avec un autre homme, je veux bien. Non, laisse-moi parler, rajoutais-je en voyant qu’elle allait prendre la parole, après je t’écoute promis, mais j’y mets quatre conditions : la première, autant que possible, on le fait ensemble, la deuxième, si tu le fais sans moi pour une raison ou pour une autre, tu m’en parles dès que possible, la troisième, tu te protèges si tu n’es pas sûre de la personne, tu exiges qu’il mette une capote, je ne veux pas que tu chopes une saloperie et enfin la quatrième, et la plus importante pour moi, le jour où nous déciderons de faire un enfant, on ne fait plus rien au moins deux mois avant pour être bien sûrs qu’il est de nous. Elle ...
... me regarda étonnée et la seule chose qu’elle me dit, les larmes aux yeux, fut : — Tu voudrais avoir un enfant avec moi ?— Bien sûr, ma chérie, ce serait l’aboutissement normal de notre amour. Elle se rapprocha de moi et m’embrassa puis me dit : — Je t’aime et je suis vraiment désolée de tout ce que je t’ai dit. Sois sûr que je n’en pensais pas un mot.— Je sais ma chérie, et moi aussi je suis désolé de t’avoir fait une scène et d’avoir provoqué cette dispute. Nous avons pris notre petit-déjeuner et, comme nous avions tous les deux mal dormi, nous sommes allés nous recoucher ensemble dans les bras l’un de l’autre. Quand je sentis que sa main descendait vers mon sexe, je la lui pris en lui disant : — J’ai plus envie de tendresse que de faire l’amour, tu veux bien juste venir dans mes bras et me dire que tu m’aimes. À moins, bien sûr, que toi tu aies envie de faire l’amour ? Elle eut un petit rire et me dit : — Non je n’en avais pas vraiment envie, mais je pensais que toi tu en avais envie, du moins j’ai cru le sentir !— Non, je veux juste te sentir près de moi et savoir que tu m’aimes.— Oh oui je t’aime. Nous nous sommes rendormis et réveillé seulement vers midi. Ce fut après la douche, tandis que nous allions vers la bulle, qu’elle me dit en m’embrassant : — Tu sais, ça n’arrivera peut-être jamais que je fasse l’amour avec un autre homme. Nous n’allions pas tarder à nous apercevoir que si ! Cela allait arriver ! Et bien plus vite que nous le pensions.