Une colocataire impitoyable (1)
Datte: 20/02/2020,
Catégories:
Transexuels
Je suis un homme hétérosexuel. Ou bisexuel je ne sais pas. Je ne regarde que les femmes dans la rue. Leurs formes, leurs jambes, leurs pieds, leur vernis, leurs habits, leur maquillage, leur coupe de cheveux. C’est peut être parce que j’aime trop les femmes que les hommes m’attirent. C’est peut être parce que je les aime trop que je veux être à leur place. Quand je me travestis, je ne veux pas être avec une femme, je veux être la femme, et un homme avec moi. J’aimerais être baisée et pas l’inverse. J’aime les hommes bien musclés, et tout mince, je n’aime pas trop la petite brioche. J’aime les femmes un peu plus rondes, mais chez les hommes non. Et je peux me permettre d’être plus difficile avec les hommes, car, par chance, j’ai un physique assez féminin qui me permet d’être convaincante quand je suis travestie. Je fais 1m75 et 62kg. Presque imberbe. Une fois épilée, habillée et maquillée je suis méconnaissable, et on me confondrait complètement avec une vraie fille. J’aimais donc tellement les filles que quand je me suis installé en colocation avec une fille, une très bonne amie du lycée, pour mon entrée à l’université, elle n’avait aucun mal à avoir la main sur moi. Je n’ai jamais réussi à rien faire avec elle, et son attitude parfois sadique, cruelle et légère me laissait sans défense. Comme tous jeunes de nos âges, 19 ans, il nous arrivait de parler de sexe. On appellera cette fille Maëva. Maëva a vite compris qu’elle me faisait de l’effet et elle en jouait. Elle ...
... n’hésitait pas à me chauffer, se balader en string et soutien gorge en dentelle, parfois à agiter ses pieds devant mon visage (elle a cerné ce point faible aussi), sans jamais aller là ou je le voulais. Plus le temps passait, plus Maëva cernait le côté soumis que j’avais. Un vendredi soir, alors qu’on restait tous les deux ce week end, on décide de jouer à action ou vérité. Ou plutôt elle décide, et j’accepte car j’ai une petite idée de ce qui m’attend. Elle pouvait décerner chaque mensonge chez moi. Ayant choisi action, Maëva propose alors de me travestir. Le prétexte était parfait, j’accepte. Mais je savais, au fond, qu’elle avait deviné aussi. Maëva adorait faire les boutiques, les essayages, et avait une garde robe bien remplie. Par chance, elle faisait 1m69, soit seulement 4cm de moins que moi, et ses habits m’iraient donc parfaitement. Déjà complètement épilée, et sans barbe, il n’y a pas eu besoin de m’enlever les poils. Après avoir hésité entre un style gothique, et un autre plutôt salope, Maëva opte pour la seconde option. J’enfile alors son string en dentelle noire, dans lequel se trouvait une poche ou je peux mettre ma bite et mes boules afin qu’elles ne dépassent pas du string. Un soutien gorge de la même couleur. Des mis bas en résille avec des talons ouverts de 7cm. Une jupe moulante noire à mi cuisse. Un crop top moulant rouge me laissant les épaules nues. Maëva passe alors au maquillage. Un rouge à lèvres rouge vif, un trait de mascara et d’eye-liner noir, un collier ...