Une colocataire impitoyable (1)
Datte: 20/02/2020,
Catégories:
Transexuels
... noir ras du cou pour masquer ma pomme d’adam, et un fond de teint léger. Aussi, elle avait appliqué un vernis noir sur mes mains et mes pieds. Je me regarde dans une glace, le résultat est encore plus convaincant que lorsque je le fais toute seule. yvpyrrxw Maëva rigole. Son rire doux et cruel, sa légèreté, qui m’ont tant de fois rendu si faible. Mais je ne suis pas une fille à part entière. Ou alors je suis une fille différente. Et Maëva vit ce qui me rendait différente : une bosse se dessinait sous ma jupe. Elle eut alors la confirmation que ça me plaisait. Maëva prit alors, comme elle le faisait souvent, un malin plaisir à se coller contre moi, mais cette fois-ci, me regardant droit dans les yeux, elle me masse l’entrejambe. Je crois alors que je vais enfin pouvoir la baiser, puis au moment ou j’allais la toucher, elle s’enlève, dans un éclat de rire. Maëva me complimente alors sur ma beauté, et elle sort les godes et plugs qu’elle cachait dans son armoire. Je compris alors son intention. Je savais qu’elle avait des godes et des plugs, ce n’était pas un tabou pour elle. Elle me demanda si j’avais déjà fait ça, si je m’étais déjà mis quelque chose dans le cul. Je l’avais déjà fait, mais j’avais mis beaucoup de temps à apprécier. Je me rappelle parfaitement de la première fois ou j’avais pris du plaisir lors d’une masturbation anale. J’y avais passé 2h, je m’étais interdit de toucher ma bite ...
... pour me concentrer uniquement sur mon trou. Pour accentuer le plaisir, j’avais attaché mes jambes, pas entre elles, mais de sorte à ne pas pouvoir les déplier, et posé des pinces à linges sur mes tétons. J’avais frôlé l’orgasme mais je n’ai pas réussi à l’atteindre, je n’avais jamais ressenti un plaisir aussi intense que quand je me défonçais le cul avec une brosse à cheveux qui me servait de gode (le manche bien sûr, qui était suffisamment rond et épais). Je lui explique alors, sous ses éclats de rires. Après avoir bien lubrifié la zone, elle me rentre un plug, qui passe tout seul. J’étais devenu une habituée, mais je ressentais toujours le même plaisir. Puis Maëva décide de s’inspirer de ce que je lui ai dit, elle aime ce qui est symbolique. Elle sort alors à ma grande surprise, une cage de chasteté, pour me rappeler que je suis une femme et que je devrais recevoir pour jouir, ce que me rappelle aussi le plug, et pas l’inverse, des pinces sur mes tétons pour les cacher, faire preuve d’un peu de pudeur, qu’on ne croit pas que je suis une fille facile (elle avait enlevé mon soutien gorge et mon haut rouge), et me menotta les mains dans le dos pour me rappeler qu’elle avait le contrôle. Je me retrouve alors à genoux, jambes attachés, mains dans le dos, cage de chasteté, plug dans le cul, pinces sur les tétons devant Maëva et ses éclats de rire, qui me montre ses pieds. Je comprends le message.