C'est au pied du mur qu'on voit le mieux... le mur
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
dispute,
Oral
pénétratio,
fsodo,
vengeance,
cocucont,
... cuisinière est devant nous. Tu peux sentir le bord de la table à ta droite… Nous sommes dans un couloir… La chambre de maman est à ta gauche, une salle de bain à ta droite. La porte suivante, ce sont des toilettes… La chambre de mon frère à ta gauche. Il n’habite plus ici mais sa chambre n’a pas changé. Tu veux entrer ?— Non, non, continue.— Une chambre d’amis porte suivante. Tu veux visiter ?— Non, non.— Tu pourrais l’utiliser ce soir si tu veux.— Ça va pas, non ?— C’est juste une proposition si tu as trop bu pour conduire.— Arrête. Avance.— Voilà, nous sommes au bout du couloir. En face, l’escalier qui mène à l’étage.— Oh, c’est un duplex ?— Ben oui.— Il y a beaucoup de surface en haut ?— La même qu’en bas.— OK, je te suis.— Nous sommes sur la mezzanine. C’est mon bureau. C’est le dernier étage : tout est mansardé.— Ça doit être joli…— J’allume ?— Non, continue.— À gauche, une chambre d’amis et la salle de bain qui va avec. Tu visites ?— Non.— À droite, un couloir. On avance.— OK.— Une grande pièce à droite qui a servi de salle de jeux. On entre ?— Oui.— Voilà, nous sommes dans l’entrée. Tout le fond est occupé par un train électrique. J’ai passé dix ans à le construire. Il fonctionne toujours. Je te montrerai ça quand tu reviendras en plein jour. Il y a une table pour le poker, et des jouets qui traînent un peu partout. Il y a aussi un canapé, à droite, où je viens pour lire. La bibliothèque est juste derrière. On ressort ; attention à toi.— Je te suis.— Nous entrons dans ...
... ma chambre.— Non.— Trop tard. Nous y sommes. À droite, la fenêtre. À gauche, l’entrée de la salle de bain.— On sort ?— Attends. En face, mon lit. Et sur la droite du lit, il y a une petite table ronde et deux fauteuils.— Des fauteuils ?— Oui, ça m’arrive de prendre le petit déjeuner là avec un journal.— Ah…— On s’assoit ?— Si tu veux. Cyril guide Aline jusqu’au guéridon et l’aide à prendre place dans le fauteuil. Il s’assoit en face d’elle. — Tu sens la table ?— Oui. Il est confortable, ce fauteuil.— Merci. Mon matelas est confortable aussi.— Je ne veux pas le savoir.— Merci d’être venue.— Je vais devoir repartir.— Voir ton mari jaloux ?— Il faut bien.— Il va encore te faire une scène…— Oui, je le crains.— Alors que tu n’as rien fait de mal.— Ben oui…— Et si tu avais fait quelque chose de mal, ce serait la même scène.— Je crois, oui.— Alors faisons quelque chose de mal. Aline savait bien qu’à un moment ou à un autre il allait essayer de profiter de la situation. Peut-être même l’avait-elle souhaité. En tout cas, sa seule réponse est le silence. Elle est dans le noir avec cet homme, tout près, qui a envie d’elle. Elle a chaud. Sa raison lutte contre sa tentation animale. Elle sent l’odeur de Cyril, elle entend son souffle. Sa peau le réclame, mais elle résiste. — On retourne dans le salon ?— Bon, comme tu voudras… Attention : nous allons par là.— Tu m’as touchée !— Désolé, pas fait exprès.— C’est ça, oui…— Tu ne portes pas de soutien-gorge ?— Qu’est-ce que ça peut te faire ? ...