L'étalon aiguille (4)
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
Transexuels
... pas de disparaître — Marie-Thérèse, pourriez-vous nous apporter des olives? — Tout de suite, Madame. Pendant qu’il alla les chercher, je m’assis à côté de Tiffanny sur le canapé. Au moins, quand j’étais assis, on voyait moins que je bandais comme un cerf. Plusieurs fois durant l’apéritif, sa main s’attarda soit sur ma cuisse, soit sur le short, soit sur les bottes. Il faut dire que celles-ci étaient particulièrement souples et qu’elles "attiraient" les caresses ! Philippe nous fit pendant tout le repas un service impeccable, digne de l’École Hôtelière. Quand j’en fis la remarque à Tiffanny entre deux plats, elle m’expliqua avec un sourire malicieux qu’à défaut d’en avoir suivi les cours, il avait "appris sur le terrain". — Madame Tiffanny et Mademoiselle Samantha prendront-elles un café? — Très bonne idée, Marie-Thérèse. Et tiens, pendant que vous y êtes, mettez-nous donc un petit fond musical Il s’exécuta et j’admirai une fois de plus son aisance à marcher sur les douze centimètres de talon ! Pour charger le CD sur la platine, il se pencha en avant tout en gardant les jambes bien tendues. Tiffanny ne le quittait pas du regard. Malgré tout, l’admiration et le désir qui se lisaient dans ses yeux ne l’empêchèrent pas de lui faire une remarque acerbe quand la musique envahit la pièce. — Je vous ai demandé quelque chose de doux, Marie-Thérèse ! — Je vois ce que c’est ! Madame commence à avoir envie d’une petite partie de frotte-foufoune avec sa copine ! — Vous changez de ton ...
... tout de suite, sinon — Bien Madame. Le concert de rock céda la place à une série de slows Tiffanny se leva. — Nous attendons toujours le café, Marie-Thérèse. — J’y vais, j’y vais — Faites attention, Marie-Thérèse, vous savez comment cela pourrait se terminer, non? — Oui Madame. — Bien. Tu danses avec moi, Sam? — Avec plaisir ! Elle s’avança vers moi et me saisit par les hanches. Comprenant qu’elle avait l’intention de mener la danse, je "fis la femme" et mis mes bras autour de son cou. Très vite, sa main gauche glissa sur mes fesses, tandis que la droite se baladait de mon aisselle à ma hanche. Je frottai ma joue contre ses cheveux blonds. A ma grande surprise, elle me répondit par un baiser langoureux dans le cou. Philippe revint avec le café et nous retournâmes nous asseoir dans le canapé. Tiffanny s’était collé à moi et avait posé sa main entre mes cuisses. Je n’avais jamais partouzé et je dois dire que je n’étais que moyennement à l’aise, bien que très excité. Je décidai malgré tout de me lâcher et posai à mon tour ma main sur son sein. Philippe s’emporta : — Allez-y Mademoiselle Samantha, ne vous gênez pas ! De toute façon, elle n’attend que ça ! — Marie-Thérèse — Tu parles, je suis prêt à parier qu’elle a les tétons raides de désir ! Philippe ne tînt pas compte du ton cinglant de Tiffanny. S’approchant de nous, il posa sa main à la place de la mienne et poursuivit sa tirade. — J’en étais sûr ! Et je ne parle pas de sa culotte ! — Marie-Thérèse — Ne te fatigue pas, Sam, ...