1. L'étalon aiguille (4)


    Datte: 22/02/2020, Catégories: Transexuels

    ... quand elle est partie comme ça, personne ne peut l’arrêter. Il n’y a qu’un moyen… Marie-Thérèse, vous savez ce qui vous attend, n’est-ce pas? — Excusez-moi, Madame — C’est trop tard, il fallait y penser plus tôt, venez. Toi aussi, Sam, suis-moi, tu vas m’aider. Interloqué mais docile, je les suivis dans leur chambre à coucher. Philippe, qui savait manifestement ce qui l’attendait, s’allongea sur le lit pendant que Tiffanny ouvrit un tiroir dans le meuble penderie. Elle se retourna et se rapprocha, tenant en main deux paires de larges bracelets en cuir noir (réglables en diamètre) reliés entre eux par une petite chaîne et doublés de fausse fourrure blanche. Elle passa la première paire entre les barreaux en fer forgé de la tête de lit et demanda mon aide pour attacher les poignets puis elle passa autour des chevilles bottées de Philippe/Marie-Thérèse la deuxième paire. — Bien, maintenant on est tranquille jusqu’à demain matin ! — Tu veux dire qu’il va…, je veux dire,… tu vas la laisser attachée toute la nuit comme ça? — Elle l’a bien cherché, non? Ne t’inquiètes pas, elle a l’habitude ! Et elle sait aussi que si elle fait du bruit, je la bâillonne. Je regardai Philippe. Effectivement, il semblait serein. Tiffanny vint se coller dans mon dos. Tout en couvrant mon épaule découverte de petits baisers, elle amena une main juste en dessous de ma fausse poitrine et de l’autre, se mit à caresser mon sexe raidi à travers le short en cuir. Nous étions pile en face de Philippe qui ne ...
    ... pouvait rien manquer du spectacle. Devinant mon état d’esprit, elle me murmura à l’oreille : — Relax, Sam ! Tout est OK, relax Je tendis mon bras en arrière pour lui saisir la nuque et me tordit le cou pour poser ma bouche contre ses lèvres. Elle ne se déroba pas, bien au contraire. Je me retournai alors complètement et nous nous roulâmes un patin monumental. Pliant mes genoux, je fis glisser ma bouche de son cou jusqu’à ses jolis petits seins qui tendaient le satin de la nuisette. Elle sembla beaucoup apprécier que j’agace ses tétons avec ma langue. Sa main me caressait les cheveux et elle m’encourageait de la voix. Après quelques instants, ma bouche continua sa descente. A genoux devant elle, je retroussai la nuisette et embrassai son sexe à travers le slip. Je retrouvai avec émotion l’odeur que j’avais découverte 24 heures auparavant à l’intérieur de sa combinaison de cuir noire. Ses soupirs se firent un peu plus rauques. A ce moment, Philippe (à qui Dieu merci je tournais le dos) poussa un gémissement. Elle le fit taire d’un "Shut up" qui n’appelait pas de réplique. D’un ton redevenu plus doux, elle me dit juste "Ce n’est rien. Go on, honey". L’une de mes mains quitta sa poitrine pour venir par en dessous coulisser entre ses fesses. Je la sentis nettement se raidir au moment où elle jouit une première fois. Elle me fit me relever, et ce fût à son tour de se mettre à genoux devant moi. Tout en plantant ses yeux bleus dans les miens, elle se mit à lécher lascivement le cuir ...
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