L'étalon aiguille (4)
Datte: 22/02/2020,
Catégories:
Transexuels
... secouait le ventre, mais, en tous cas, il appréciait manifestement ce qui se passait. De mon côté, les événements qui s’étaient enchaînés depuis dix-sept heures trente avaient tellement exacerbé mes sens que malgré mes efforts pour faire encore durer le plaisir, je déchargeai dans le ventre de Tiffanny. Philippe poussa un gémissement. — Quoi, Marie-Thérèse, ça t’aurait plus d’être à la place de Samantha, c’est ça? — Oui. — Tu ne peux t’en prendre qu’à toi, ma chère. Si tu t’étais mieux conduite Je me retirai d’elle et m’écroulai sur le lit en me glissant sous les jambes de Tiffanny afin d’être parallèle à Philippe. Elle se mit à faire jouer ses cuissardes contre les miennes tout en retroussant la jupe de son mari. Elle fit sortir sa verge gonflée et la caressa un peu, puis elle s’assit au milieu du lit. Je voyais les talons aiguilles dépasser sous ses cuisses croisées, je matais ses tétons qui tendaient le satin de la nuisette. Ses yeux fixaient alternativement ces deux "hommes" allongés à ses genoux : Philippe était immobile (et pour cause) dans son costume de soubrette, mais sa queue sortait fièrement de sa jupette retroussée. J’avais débandé et rengainé la mienne dans le petit slip noir. Satisfaite du spectacle, elle se coucha sur le dos entre nous deux. Je me tournai sur le côté, et tout en lui mordillant les seins, je me mis à caresser son clitoris. Dans un premier temps, elle me tourna le dos et frotta ses fesses contre mon ventre au gré des mouvements de mon majeur. ...
... Puis, répondant à mon invitation, elle se coucha sur mon ventre, en levrette et alla de sa main mettre entre ses jambes ma verge ramollie. Tout en masturbant Philippe couché à sa droite, elle me caressait la cuisse. Après m’être acharné (avec succès, d’ailleurs) sur son clitoris, j’introduisis mon doigt dans son vagin. Le fait d’entendre ses gémissements de plaisir associé à la caresse que son entrejambe me prodiguait me firent peu à peu retrouver une érection digne de ce nom. De ce fait, quand elle creusait son ventre comme pour mieux aspirer mon sexe, l’extrémité de mon gland entrait en contact avec ma main qui s’activait à la fouiller. S’adonnant toute entière à son désir, elle lâcha la queue de Philippe et connut un nouvel orgasme. Elle se retourna sur le ventre et colla sa bouche contre la mienne. Pendant que son bassin ondulait doucement pour consolider mon érection, je me mis à caresser sa poitrine. Finalement, elle se redressa et s’empala sur moi. Elle me chevauchait telle une amazone, m’offrant en contre-plongée la vision de son torse et de son visage aux traits fins. Au rythme des ondulations de son bassin, elle contractait les muscles de son périnée, générant ainsi au niveau de mon phallus des sensations extraordinaires. Souvent, elle fermait les yeux et inclinait sa tête en arrière. Ses cheveux blonds tombaient alors en couronne sur ses épaules. Dieu qu’elle était belle ! amdarrkf De temps en temps, elle donnait un coup de reins plus sec. Ma verge s’enfonçait alors ...