1. Pagaille !


    Datte: 23/02/2020, Catégories: fh, ff, jeunes, couple, extracon, Collègues / Travail fépilée, froid, BDSM / Fétichisme Oral préservati, jeu, champagne,

    ... mettre ses mains en coquilles sur mes seins, puis d’en agacer les pointes. Ah, j’adore ! Mais voici Bénédicte qui sort de l’immeuble. Elle recule aussitôt, car une voiture s’approche, très lentement. Quand elle est passée, Bénédicte traverse la rue, se penche sous le lampadaire, remplit les casseroles, se relève, se met à courir pour retraverser car un piéton surgit, qu’elle n’avait pas vu venir. Nous entendons grincer l’ascenseur. Bénédicte grelotte en passant la porte : — Le naturisme, c’est mieux quand il fait chaud ! Il reste quelques crêpes et une dernière bouteille de cidre. Chacun et chacune ont repris leur place, sans autres vêtements que la petite culotte noire pour Anne-Laure et le slip mauve pour Charles-Henri. Le noir est mouillé et le mauve est soulevé pas un gland qui commence à apparaître sous l’élastique. Ils n’ont pas encore joué, eux. J’interpelle Charles-Henri : — Vérité, ô très noble collègue ! Tout à l’heure le canapé se transformera en lit. Il y aura donc un homme par lit, et deux femmes. Qui voudrais-tu avoir avec toi ?— Mais… comment te répondre ? Tu veux me fâcher avec deux d’entre vous ?— Tu es un peu trop sûr de ton charme, toi ! Mais tu refuses de répondre, très bien ! Il n’y a pas que les filles qui doivent descendre à poil dans la rue enneigée. Enlève ce slip et va courir sur le trottoir jusqu’au carrefour. Nous te regarderons par la fenêtre.— Moi je veux bien mais je constate que toi non plus tu n’es pas allée dehors. J’y vais si tu viens avec ...
    ... moi.— S’il n’y a que ça pour te faire plaisir… Il est tombé dans le panneau. Il m’embrasse dans l’ascenseur, cherche même à m’y faire l’amour, debout contre la paroi. Je l’en dissuade. Dehors, il neige à gros flocons. Nous traversons la rue, qui est déserte. Là-haut, ils nous observent, derrière ma fenêtre. On ne glisse plus, il y a trop de neige. Nos pieds s’y enfoncent. Je n’ai pas vraiment froid. Je tente de courir plus vite que Charles-Henri mais il accélère et arrive avant moi au carrefour. Il s’arrête sous le lampadaire pour m’attendre, me tend les bras. Et en piste pour un interminable baiser, nos corps enlacés, son gland contre mon nombril. S’il me couchait dans la neige je le laisserais bien faire, je suis un chiffon, je vais m’y laisser tomber, il fera de moi ce qu’il voudra, je meurs d’envie de lui. S’il veut vivre avec moi je ne dirai pas non. Des phares, au bout de l’avenue. Il faut rentrer en vitesse. Il se contente de me suivre. Je me retourne sans cesser de courir, le fou-rire me prend : horizontale, sa bite bat la mesure ! Nous arrivons devant le 28, quatre immeubles avant le mien, au moment où vient de s’ouvrir sa porte, un homme en est sorti, suivi de son chien. Nous les contournons. Je ris comme une malade, à en perdre haleine. De nouveau l’ascenseur, de nouveau les bras de Charles-Henri, sa bouche, ses mains qui sont partout sur mon corps mouillé de neige fondue. Moi aussi je fonds, en arrivant chez moi je vais entraîner ce garçon dans ma chambre… Non ! ...