Pagaille !
Datte: 23/02/2020,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
froid,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
jeu,
champagne,
... Mickaël et Anne-Laure y sont déjà, et la porte est fermée. Virginie nous apprend qu’ils nous ont regardés nous embrasser sous le lampadaire et que, sans un mot, ils se sont pris par la main et sont allés dans la chambre. Nous nous trouvons un peu bêtes. Il n’est pas question d’aller les déranger, bien sûr. Reviendront-ils nous rejoindre, ou passeront-ils toute la nuit dans les bras l’un de l’autre ? Quel égoïsme de leur part ! Il est vrai que j’étais disposée à faire pareil avec Charles-Henri il y a quelques instants… Finissons les crêpes et buvons ce qui reste de cidre. Les crêpes sont froides et le cidre tiède. Ce moment de déprime ne devrait pas durer. Virginie et Bénédicte entraînent Charles-Henri sur le canapé. Il ne bande presque plus ! Alors elles le câlinent, le tripotent, le pelotent… Je porte dans la cuisine les bouteilles vides, les assiettes et les verres. Il faudra jeter tout ça et laver les poêles. Demain. J’avais d’abord pensé être dans mon lit avec Anne-Laure, de part de d’autre de Mickaël, sa bite sortant de l’une pour ...
... s’introduire dans l’autre. Ensuite nous l’aurions laissé dormir, épuisé, repoussé tout au bord du lit, et Anne-Laure et moi nous nous serions bien débrouillées pour jouir encore et encore. Puis j’ai rêvé que ce serait avec Charles-Henri que je passerais la nuit, mais seule avec lui, ce qui n’était pas possible, bien sûr. Pourtant, c’est devenu la réalité pour Mickaël et Anne-Laure, qui font l’amourdans mon lit, sans moi… C’est la pagaille ! Allons, secoue-toi, Sophie ! Virginie picore les petits tétons de Charles-Henri et Bénédicte le suce avec application. Il bande de nouveau. S’il est amoureux de moi il se justifiera plus tard en prétendant que c’est purement mécanique. Mais pourquoi serait-il amoureux de moi ? La neige m’avait décidément rendue complètement folle. S’ouvre la porte de ma chambre, en sort Anne-Laure, nue. Elle trottine devant le canapé, rit joyeusement en voyant Charles-Henri si occupé, et vient à moi : — Sophie, je viens te chercher.— Pourquoi ?— C’est la pagaille, ce con s’est trompé de prénom, il m’a dit : Sophie je t’aime !