1. Pagaille !


    Datte: 23/02/2020, Catégories: fh, ff, jeunes, couple, extracon, Collègues / Travail fépilée, froid, BDSM / Fétichisme Oral préservati, jeu, champagne,

    ... pute, non ?— On a envie, parfois, de se sentir un peu pute. Pas vrai ?— Absolument ! Elle rit, complice. Moi qui pensais qu’elle était peut-être encore vierge ! Tiens, Mickaël a maintenant les genoux entre ceux de Virginie, qui a écarté les jambes. Et il couvre ses cuisses de petits bisous, ainsi que les fesses elles-mêmes ! Il a vite compris que ce soir tout sera permis. — Mickaël, enlève-lui donc sa petite culotte pour que je la mette dans le lave-linge… Merci. Charles-Henri, ton boxer s’il te plaît ! Allez les filles, donnez-moi vos sous-vêtements ! Mickaël, ton slip, je te prie ! On m’obéit, sauf Charles-Henri. La douce Bénédicte est complètement épilée ! Une naturiste épilée, les hommes doivent méchamment se rincer l’œil sur la plage. Quand on prétend qu’ils ne font pas attention à la nudité des autres, je rigole. Quant à Mickaël… Il est grand temps que j’intervienne : — Mickaël, mets donc une capote, tu sais bien qu’il y en a dans le tiroir de la table de chevet… Tiens, en voilà une, et j’en emporte une aussi. Eh bien, Charles-Henri, tu as encore ton boxer, tu es pudique, tu veux nous cacher que tu bandes ? On s’en doute un peu, quand même ! Tu veux aller dans la salle de bains ? Comme j’y vais justement, tu n’as qu’à me suivre. Il me suit, le slip mauve à la main. Je fourre dans le lave-linge les sous-vêtements que j’ai collectés et j’y ajoute ma petite culotte, que j’avais conservée. Charles-Henri, collé contre mon dos, fait passer son boxer par-dessus mon épaule ...
    ... pour qu’il rejoigne le reste et s’empare de mes seins en glissant ses mains sous ma nuisette. Va-t-il entrer en moi tout de suite ? Je lui tends le préservatif. Je tourne légèrement la tête pour m’assurer qu’il l’enfile bien avant de… m’enfiler. J’ai les deux mains appuyées sur mon lave-linge, je suis cambrée juste ce qu’il faut pour qu’il ne se trompe pas d’orifice. Le bon est humide, bien sûr, et pas l’autre. Son jeu de reins est très jouissif. Comme il va loin en moi ! Comme il est vigoureux ! Il bredouille quelque chose. J’entends mal, il a les lèvres dans mon cou. Va-t-il y mordre comme un matou baisant une chatte en chaleur ? — J’adore faire l’amour avec toi, Sophie. J’en avais envie depuis si longtemps ! Enfin… il ferait mieux de dire qu’il me baise, tout simplement ! Je me tais, je remue un peu le bassin, il accélère ses mouvements, grogne, triture la pointe de mes seins, c’est délicieux de souffrir un peu en sentant le plaisir qui monte, qui monte… Ah, que c’est bon, que c’est bon !… C’est un peu trop rapide mais c’est bon quand même. Il diminue peu à peu en moi. Je comprime mon vagin pas à-coups. Les garçons aiment bien. D’ordinaire, je le fais au début mais cette fois je n’ai pas eu le temps… Un coït animal ! Je les aime parfois, certes, mais aussi et surtout les prémices. Ce sera pour plus tard, nous avons une longue nuit devant nous. Il se retire, je me retourne pour lui faire face, il me prend dans ses bras, nos lèvres se rencontrent. Sa langue virevolte dans ma ...
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