1. En voiture !


    Datte: 24/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... hauteur : tel un coquelicot au printemps, sa vulve venait d’éclore ; ses tissus muqueux étaient suffisamment souples pour que son réceptacle intime acceptât tout type pénétration. Mon érection était dorénavant significative. Mon épouse sortit son bras par la fenêtre ouverte, et palpa à travers le pantalon le sexe du motard. - Mon petit numéro de rasage t’a fait de l’effet apparemment, constata-t-elle. L’inconnu retira son gant, et caressa le sexe de ma belle. Il insistait sur son clitoris qui doubla rapidement de volume. Je redémarrai la voiture ; le motard sortit son bras de l’habitacle. Durant le trajet, je proposais à ma passagère un défi : - Si tu cries grâce avant moi lors des ébats à venir, alors tu auras un gage. Sinon, le motard et moi en aurons un ! - De quels gages parlons-nous, demanda-t-elle ? - Le gagnant choisira, répondis-je Nous poursuivîmes notre route jusqu’à une aire de stationnement situé sur les hauteurs du campus d’Orsay. Il était vide : la rentrée universitaire était prévue au début du mois d’octobre. Je garai notre voiture à l’angle le plus éloigné de l’entrée du parc sans toutefois couper le contact ; un écran de frondaisons nous masquait de la route d’accès. J’ouvris la portière droite pour permettre à ma passagère de descendre du véhicule ; elle retrouva une tenue vestimentaire décente quand la base de sa jupe se rajusta au niveau des mollets. Ma belle se jeta au coup du motard qui avait déjà retiré son casque et se tenait debout contre son engin. ...
    ... Alors qu’elle l’embrassait fougueusement, je me glissais derrière elle pour retirer son chemisier et son soutien-gorge. Une fois torse nu, elle s’apprêtait à retirer le blouson de l’inconnu. Je lui pris la main et l’accompagnai vers notre véhicule, pour qu’elle s’assît à la place du mort. Quant à l’inconnu et moi, nous prîmes place sur la banquette arrière, lui derrière mon épouse et moi côté gauche. Comme la boîte de vitesse de la voiture était automatique, il n’y avait pas de levier sur le large tunnel qui séparait les deux fauteuils avant. - Assieds-toi face à nous entre les deux sièges, demandai-je à mon épouse. Elle s’installa dos contre le tableau de bord, à cheval sur le tunnel. Sa jupe cachait ses charmes de la taille aux chevilles. Le motard s’extasia : - Elle a une superbe poitrine ! Il avança la main et palpa le buste nu. - Et en plus, elle est ferme, renchérit-il. Deux masses identiques aussi volumineuses et denses que des pamplemousses de belles tailles emplissaient harmonieusement ses poches cutanées fixées de chaque côté du sternum à hauteur des aisselles. La ptose marquée de ses seins sans vergeture et leurs aréoles froissées dont les noisettes pointaient vers le haut des humérus donnaient au torse de ma belle un cachet subtil et excitant. - Relève le dos de ta jupe pour que tes fesses soient en contact avec le tapis de sol, et pose tes pieds sur les fauteuils, ordonnai-je. Elle obtempéra. Elle posa ses bras en croix sur le haut du tableau de bord. Comme ses ...
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